La différence des coûts salariaux entre la Belgique et ses voisins atteindra, entre 1996 et 2006, 2,9 pc. Et sur la période 2005-2006, l'évolution des coûts salariaux sera encore de 2,1 pc plus rapide en Belgique que dans les Etats limitrophes. Ces chiffres sont tirés du rapport technique du Conseil central de l'Economie (CCE) présenté ce mardi à la presse et qui a suscité, dans la foulée, das réactions des partenaires sociaux.
Invité de la réception du nouvel an de l'Union wallonne des entreprises (UWE), Pierre Cuisinier, administrateur délégué de Caterpillar-Belgium (deuxième gros employeur privé wallon avec 4500 travailleurs) et vice-président de l'Union wallonne des entreprises (UWE) a estimé mardi que les coûts salariaux belges ont atteint la limite à ne pas dépasser.
Les travailleurs d'Europe de l'Est et d'Europe centrale coûtent jusqu'à quatre fois moins que leurs collègues d'Europe de l'Ouest. En Belgique, les coûts salariaux sont même dix fois plus élevés que dans quelques pays de l'ancien bloc de l'Est. Dès lors, explique le bureau américain de concultance Mercer, il ne faut pas s'étonner que bon nombre de sociétés occidentales délocalisent vers ces pays.
La différence des coûts salariaux entre la Belgique et ses principaux voisins (France, Pays-Bas et Allemagne) atteindra 2,9pc pour la période 1996-2006. Et pour les années 2005-2006, l'évolution des coûts salariaux sera de 2,1pc plus rapide en Belgique que dans les Etats limitrophes. Ces chiffres sont tirés du rapport technique du Conseil central de l'Économie (CCE) présenté mardi par son président, Robert Tollet.
Les travailleurs d'Europe de l'Est et d'Europe centrale coûtent jusqu'à quatre fois moins que leurs collègues d'Europe de l'Ouest. Les salaires (bruts) belges sont même dix fois plus élevés que dans quelques pays de l'ancien bloc de l'Est. Dès lors, explique le bureau américain de consultance Mercer, il ne faut pas s'étonner que bon nombre de sociétés occidentales délocalisent vers ces pays.
La Belgique a-t-elle un problème de compétitivité ? La question se pose à nouveau alors que les négociations en vue d'un prochain gouvernement s'enlisent.
Les bonus vont diminuer l'an prochain en Belgique. Il ne s'agit pas des très médiatiques rémunérations variables des patrons mais bien des avantages non récurrents liés aux résultats, soit les bonus salariaux que les employeurs peuvent accorder à leur personnel en fonction de certains objectifs.
La Commission européenne a examiné, grâce à des tests, quelle était la pression fiscale exercée sur les bas salaires de 24 pays. En Belgique, la pression fiscale est la plus forte de tous les pays industrialisés. La différence entre ce que l'employeur paie et ce que le travailleur touche après les charges sociales et l'imposition s'élève à 49,2 pc des coûts salariaux.
La Belgique figure parmi les mauvais élèves européens en matière de tarifs internet. La raison de ces tarifs élevés est simple: l'Etat dispose de parts dans Belgacom et Telenet, un duopole maintenant les prix du secteur artificiellement élevés.
La forte augmentation des salaires réels en Belgique est une bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat des travailleurs mais une mauvaise pour le pouvoir concurrentiel des entreprises. Le handicap des coûts salariaux risque d'atteindre les 6 pc en 2009.
En Belgique, à Mons plus précisément, un enseignant a fait une expérience plus qu'inattendue sur ses 29 élèves. Pour illustrer un cours de biologie, le professeur a voulu montrer aux élèves ce que donnerait l'observation d'une goutte de sang au microscope. Pour cela il a utilisé une (...)
Si la Belgique figure parmi les mauvais élèves européens en matière de tarifs internet, c'est en partie à cause de l'Etat qui dispose de parts dans Belgacom et Telenet, un duopole maintenant les prix du secteur artificiellement élevés. Voilà résumé en quelques mots la nouvelle croisade de l'organisation de défense des consommateurs Test-Achats.
Le Portugal a lancé un vaste programme informatique visant à améliorer l'accès de ses écoliers aux nouvelles technologies. B...
Confronté à une concurrence croissante et à des coûts salariaux qui progressent plus rapidement que le chiffre d\'affaires, GB va restructurer ses activités. Ce qui se traduira par le licenciement collectif de 900 travailleurs sur les 5.502 que compte son unité technique d\'exploitation des supermarchés. Par ailleurs, 16 magasins \structurellement en perte\ seront fermés.
Le licenciement collectif - qui ne concerne pas les magasins franchisés, ndlr - s\'inscrit \dans une optique de réduction des coûts salariaux indispensable pour garantir l\'avenir global de l\'activité des supermarchés intégrés\, a souligné la direction dans un communiqué.
Quant aux magasins qui seront fermés, ils sont \en perte depuis des années et influencent de manière négative la rentabilité de l\'enseigne\. Sont concernés les établissements d\'Anderlues, Gilly, Grivegnée, La Louvière, Quiévrain, Rocourt, Tournai, Uccle Marlow, Deurne, Ekeren, Gand Dampoort, Termonde, Hal, Heppen, Audenaerde et Saint-Nicolas.
La direction discutera \dans les prochains jours\ avec les représentants du personnel sur les différentes mesures envisageables afin d\'éviter \autant que possible\ les licenciements secs, a-t-elle encore assuré.
Confronté à une concurrence croissante et à des coûts salariaux qui progressent plus rapidement que le chiffre d\'affaires, GB va restructurer ses activités. Ce qui se traduira par le licenciement collectif de 900 travailleurs sur les 5.502 que compte son unité technique d\'exploitation des supermarchés. Par ailleurs, 16 magasins \structurellement en perte\ seront fermés.
Le licenciement collectif - qui ne concerne pas les magasins franchisés, ndlr - s\'inscrit \dans une optique de réduction des coûts salariaux indispensable pour garantir l\'avenir global de l\'activité des supermarchés intégrés\, a souligné la direction dans un communiqué.
Quant aux magasins qui seront fermés, ils sont \en perte depuis des années et influencent de manière négative la rentabilité de l\'enseigne\. Sont concernés les établissements d\'Anderlues, Gilly, Grivegnée, La Louvière, Quiévrain, Rocourt, Tournai, Uccle Marlow, Deurne, Ekeren, Gand Dampoort, Termonde, Hal, Heppen, Audenaerde et Saint-Nicolas.
La direction discutera \dans les prochains jours\ avec les représentants du personnel sur les différentes mesures envisageables afin d\'éviter \autant que possible\ les licenciements secs, a-t-elle encore assuré.