Alors que le pétrole bat des records historiques, le Fonds monétaire international a relevé à 4,9% sa prévision de croissance pour l'économie mondiale
L'envol des prix du pétrole risque de faire dérailler la croissance économique mondiale et de favoriser un peu plus les tensions inflationnistes. La communauté internationale semble impuissante. A 150 dollars le baril, voire 200 dollars, la donne économique mondiale n'est plus la même. Wall Street, en abandonnant vendredi soir un peu plus de 3 %, en témoigne.
Le Fonds monétaire international (FMI) annonce que la croissance mondiale a ralenti en raison du prix du pétrole, pour se fixer à 4,3%.
Les pays membres du G8, réunis à Saint-Pétersbourg, tirent à leur tour la sonnette d'alarme sur une éventuelle conséquence de la flambée du pétrole sur la croissance mondiale : la croissance mondiale reste forte et est mieux répartie mais les...
Les ministres des Finances des pays industrialisés du G8 vont affirmer samedi, dans le communiqué final de leur réunion d'Osaka (Japon), que les prix élevés du pétrole menacent la croissance mondiale et compliquent leurs choix politiques, selon une source du G8.Les prix élevés des matières...
La croissance économique mondiale a accéléré en 2005 et devrait en faire autant en 2006 notamment grâce aux bonnes performances en Europe et au Japon et malgré le niveau toujours élevé des prix du pétrole, a affirmé mercredi le...
Dans son rapport mensuel de septembre paru vendredi à Vienne, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a abaissé ses prévisions de hausse de la demande mondiale de pétrole en 2006, malgré une accélération de la croissance économique internationale et...
Sur fond de crise du crédit aux Etats-Unis pesant sur les marchés financiers et de prix du pétrole élevés, la croissance économique mondiale devrait ralentir en 2008. (ARGENT)
Un premier objectif de maîtrise de la consommation mondiale de pétrole devrait être exprimé dès aujourd'hui par un postulat très simple: les consommations mondiales de pétrole NE DOIVENT PLUS CROÎTRE, les baisses de consommations des pays riches de l'OCDE compensant la croissance des consommations des pays NON OCDE. Cette consommation mondiale doit être stabilisée à 86 millions de barils par jour (ou a mille barils par seconde!). En effet il est une quasi évidence dans toutes les études prospectives qui...
La hausse du taux de chômage annoncée pour 2009 menace de faire dérailler encore davantage le budget. Le déficit supplémentaire pourrait atteindre 1,2 milliard d'euros.
Il s'agit de la quatrième révision à la baisse d'affilée. Elle s'explique par les prix élevés du pétrole brut et le ralentissement de la croissance économique mondiale.
Si le scénario de l'AIE se confirme, la demande de pétrole pour alimenter la reprise de la croissance mondiale augmentera au moment même où l'offre se raréfiera, augurant de nouvelles hausses des prix du brut.
La flambée du prix du pétrole et les déséquilibres persistants entre les grandes régions économiques du monde jettent désormais une ombre sur les perspectives de croissance mondiale, une fragilité qui se reflète déjà dans la nervosité des marchés financiers.
La réduction de la consommation de pétrole américaine, en cumulé depuis le début 2008, de près de 1,1 millions de barils par jour à fin Juin, et qui semble se poursuivre, entraîne une stagnation de la consommation mondiale de pétrole. En contrepartie les productions OPEP ont atteint 38 millions de barils de liquides (pétrole+ gaz liquéfiés) à fin Juillet en croissance de plus de 2 millions de barils (+6%) par rapport à Juillet 2007. Ces deux paramètres fondamentaux, dont les...
La croissance économique mondiale ne dépassera pas 0,9% en 2009, selon les prévisions de la Banque mondiale (BM) qui annonce aussi une contraction du commerce de 2,1% pour la même année. Cette croissance se situera normalement à 4,5% dans les pays en développement. Dans ses «perspectives pour l'économie mondiale» rendues publiques à Washington, la BM note que le PIB (produit intérieur brut) des pays développés devrait simultanément se contracter de 0,1%. Ce pronostic est nettement inférieur au précédent établi par la Banque mondiale au mois de juin dernier où la croissance mondiale prévue était estimée à 3% et à 6,4% dans les pays en développement.