Afin de faciliter l'interopérabilité des produits serveurs de Microsoft avec des logiciels libres, la Commission a convaincu l'éditeur de divulguer gratuitement certains de ses codes. En échange d'une clause de confidentialité dans ses licences.
Neelie Kroes, commissaire européenne, menace Microsoft de lourdes sanctions si le groupe continue à se plaindre. Jeudi, Microsoft a accusé Bruxelles de collusion avec ses concurrents qui ont porté plainte contre lui et demandé ...
Le groupe informatique américain a accepté, lundi 22 octobre, de se plier aux injonctions de la commissaire en charge de la concurrence, Neelie Kroes, afin de faciliter l'accès de ses concurrents à ses technologies. Il ne fera pas appel.
Nouvelle passe det#8217;armes entre Microsoft et la Commission européenne. Mercredi après-midi, let#8217;éditeur américain a demandé à Bruxelles plus de « cohérence » et de clarté pour déterminer au mieux comment ...
Un mois après le verdict de la Cour européenne de justice, l'éditeur américain a accepté de se conformer aux injonctions de Bruxelles, qui l'obligent à fournir les protocoles de communication de ses logiciels serveurs, à des coûts raisonnables.
Depuis novembre 2006, Microsoft a ouvert l'accès de ses protocoles de communication à ses concurrents. Mais le tarif fixé - 5,95% de leurs revenus sur les logiciels serveurs - est dissuasif pour la Commission européenne, qui réclame la gratuité.
Sous la menace d’une nouvelle amende, l’éditeur américain a envoyé à Bruxelles une copie de sa documentation complète. Toute entreprise souhaitant la visionner peut désormais en faire la demande.
Il y a quelques jours Microsoft nous avait annoncé qu'il délivrerait ses codes sources des technologies serveur à la concurrence.
Or la réaction de Bruxelles ne s'est pas fait attend...
Pour Bruxelles, Microsoft a pratiqué durant 3 ans des prix déraisonnables pour l'accès aux informations permettant l'interopérabilité avec ses produits. Elle lui réclame 899 millions d'euros, soit le double de l'amende de 2004 pour abus de position dominante.
Suivant un avis des autorités de Bruxelles et des Cnil européennes, Microsoft accepte de conserver jusqu'à six mois les données personnelles des utilisateurs de son moteur Live Search. A condition que Google et Yahoo fassent de même.
La fin du contrat du mandataire chargé de surveiller le respect des réglementations par Microsoft signe un allègement du processus de contrôle de Bruxelles.
La plateforme de télévision sur IP de Microsoft, connue sous le nom d'IPTV s'appellera désormais Microsoft Mediaroom. Mediaroom est un service destiné aux fournisseurs d'accès, leur permettant de diffuser la télévision sur leur réseau IP. En Fra...
La « patience » de la Commission européenne à l'égard de Microsoft, à qui elle demande de respecter d'urgence les mesures « correctives » imposées en 2004, se compte « plus en semaines qu'en mois », ...
On discute, on palabre, on nomme des experts, etc. Le manque de mordant de la Commission de Bruxelles face aux manœuvres dilatoires de Microsoft confine à la complicité. Et dire...
Microsoft et Bruxelles s'opposeront la semaine prochaine devant la Cour européenne de justice. Microsoft cherche à revenir sur l'amende et les mesures correctives imposées voilà deux ans par la Commission européenne, pour ses pratiques anti-concurrentielles.