Wikileaks a mis en ligne tous les messages échangés avec des pagers à New York et Washington pendant 24 heures entre le 11 et le 12 septembre. Des messages envoyés par les témoins des attentats mais aussi des policiers ou des agents du FBI. Un témoignage inédit.
C'est un document extraordinaire que vient de diffuser Wikileaks : 573.000 messages échangés le 11 septembre 2001 sur Internet, dont certains émanent de particuliers, du FBI ou encore de policiers. Exceptionnel.
Les archives des messages envoyés sur des pagers le jour des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, viennent d'être publiées sur Wikileaks.org.
Les archives des messages envoyés sur des pagers le jour des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, viennent d'être publiées sur Wikileaks.org.
Le site Wikileaks a publié une liste de 573.000 messages envoyés par des bipeurs le 11 septembre 2001. Au delà des messages qui seront décortiqués pour retracer le déroulement des évènements, c'est l'existence-même d'une telle base de données qui pose question. [Lire la suite]
Faute de finances, le site WikiLeaks devenu le spécialiste de la publication de documents confidentiels est en danger.
Le site internet Wikileaks.org, spécialisé dans la diffusion de contenus sensibles, a entamé mercredi la publication de centaines de milliers de mini-messages qui auraient été envoyés aux Etats-Unis via des bipeurs le jour des attentats du 11-Septembre.
Jusqu'au 6 janvier prochain, Wikileaks se met hors-course. Les responsables du site d'investigation et d'hébergement de documents confidentiels veulent souligner les difficultés financières, techniques et juridiques qu'un tel projet engendre. Dans un message publié sur la page d'accueil, ils appellent les internautes à soutenir le site à travers des dons, mais également en apportant une expertise technique et juridique. [Lire la suite]
Wikileaks .org est un nouveau genre de Wikipedia qui pourrait bien...
Au moins 11 agents de police allemands ont perquisitionné cette semaine le domicile de Theodor Reppe, le propriétaire du nom de domaine allemand du site d'investigation Wikileaks. Ses administrateurs pensent que la raison de cette descente réside dans la publication des listes de sites censurés dans plusieurs pays, au moment où l'Allemagne (comme la France) réfléchit elle-même à un mécanisme de censure du web piloté par l'Etat. [Lire la suite]
On lui doit quelques uns des plus beaux scoops de ces dernières années, sur le Climategate, les liens entre OMS et labos pharmaceutiques ou, tout dernièrement, le « traité secret » ACTA : Wikileaks, un site qui permet de publier anonymement des documents sensibles, est provisoirement fermé. Faute de fonds.
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