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AMD se rebiffe sur le secteur des cartes graphiques
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
En effet, le dernier trimestre 2007 a permis à AMD de reprendre des parts de marché à ses concurrents directs que sont Nvidia et Intel. Dès lors, on peut directement...
Selon le cabinet d'étude Jon Peddie Research, le géant des cartes graphiques, NVIDIA a connu une très forte croissance le trimestre précédent ce qui lui a permis de se rapprocher de l'actuel numéro un qui n'est autre que Intel. Ainsi durant ce deuxième trimestre c'est près de 81,3 millions de cartes graphiques qui été livrées sur le marché, une progression d'environ 3% sur le premier trimestre et pratiquement 10% comparé a la même période en 2006. Pour ce qui est des parts de marché de chacun même si Intel garde la première place avec 37,6%, NVIDIA n'est pas du tout loin avec 32,6% de parts de marché. C'est AMD (ATI) qui ferme la marche avec (seulement) 19,5%.
A force de parler de la guerre entre ATI et NVidia pour avoir les cartes graphiques les plus performantes lors qu'Intel ne propose que des produits de très faible puissance on en oublie que ce dernier domine malgré tout de très loin ce marché.Une étude du cabinet Jon Peddie Research a fait le point sur les ventes de processeurs graphiques pour 2009. Il s'est écoulé 425 millions de puces graphiques. NVidia en a écoulé environ 24%, ATI un peu moins que 20% les deux étant très largement derrière Intel qui a accaparé 55% de ce marché, les 1% restant étant à attribuer à Matrox et SIS qui font moins que de la figuration.Dans la pratique, l'essentiel des machines vendues à destination des entreprises et dont le tarif passe bien avant les capacités 3D est doté de GMA. Il en va de même avec les ultra portables très en vogue et qui eux aussi n'ont droit qu'au minimum à ce niveau.Dans ces conditions, on comprend mieux le peu de volonté d'Intel de faire évoluer de manière significative ses solutions graphiques. Elles n'ont pas besoin de performances pour se vendre à plusieurs centaines de millions d'unités.
Le torchon n'en finit plus de brûler entre NVidia et Intel qui sont maintenant rentré dans une phase de guerre totale qui a commencé lorsque NVidia a annoncé vouloir faire réaliser à ses puces graphiques des calculs complexes, chose à laquelle Intel à répondu en se lançant dans les cartes graphiques avec son projet Larrabee, et surtout depuis que NVidia a réussi à proposer des contrôleurs dotés de parties graphiques performantes pour les portables, le 9400M.Ce dernier est d'ailleurs une fois encore le sujet de ce nouvel affrontement. Afin d'étendre les parts de marché de cette puce, Nvidia en a proposé une déclinaison pour les processeurs ATOM, l'ION. Dès sa sortie, de nombreuses personnes ont accusé Intel de ne pas vouloir vendre l'ATOM seul pour l'intégrer sur cette puce, chose réfutée par le fondeur.Jen-Hsun Huang, patron de NVidia revient à la charge et accuse Intel de comportement déloyal à ce sujet. Selon ses propos, Intel accepte de vendre le processeur ATOM tout seul, mais à 45$. Dans le même temps, ils vendent ce même CPU doté de ses puces annexes (que l'ION veut remplacer) à ... 25$.Interrogé à ce sujet, Intel considère qu'il n'est pas anormal qu'un lot soit moins coûteux qu'un produit à l'unité... Nous sommes curieu...
Comme à son habitude, John Peddie Research vient de publier le récapitulatif des parts de marchés des divers fabricants en ce qui concerne les ventes de puces graphiques au 2è trimestre 2009. Tout d'abord une information intéressante : avec 98.30 millions d'unités vendues, contre 74.87 millions au premier trimestre, le marché des chips graphiques est revigoré, et semble sortir de sa léthargie des derniers mois. Du côté des principaux acteurs, Intel tout d'abord confirme sa suprématie grâce au marché de l'IGP, avec 51.2% à lui seul (49.7% au Q1). AMD de son côté progresse avec 18.4% contre 17.1% sur les 3 premiers mois, tandis que c'est Nvidia qui accuse un recul, avec 29.2% contre 31.1% en début d'année. Via/S3, SiS et Matrox se partagent les miettes restantes, à savoir 1.2% à eux trois réunis. Grâce au coup de fouet du marché, les 3 grands ont largement remonté leur nombre de ventes sur le trimestre, même Nvidia pourtant en recul en termes de parts de marché, mais pour les 3 petits la situation empire encore davantage, SiS par exemple passe de 700 000 à 400 000 unités vendues lors de ce second trimestre. (Source PC Inpact)
Leaders incontestés sur le marché de la carte graphique nVidia et ATI (racheté par AMD) sont les acteurs premiers de la concurrence dans ce domaine, de la même manière que le sont Intel et AMD au niveau des processeurs. Aussi, nos confrères de Presence PC se sont penchés sur les relations nVidia-AMD au-delà des cartes graphiques.
AMD peut maintenant se vanter officiellement d'avoir été persécuté par Intel qui a tout fait pour qu'ils ne puissent gagner de parts de marché, ceci passant par des pratiques commerciales anti concurrentielles mais aussi en s'arrangeant pour que les compilateurs Intel produisent un code moins efficace sur leurs processeurs.La société accuse maintenant NVidia de tricher également avec sa technologie PhysX. Elle permet d'obtenir des effets physiques dans les jeux. Bien entendu, elle est censée être largement accélérée dès que l'on a un GPU NVidia. Afin d'augmenter artificiellement les performances de ses cartes graphiques avec le PhysX par rapport à ce que donne un processeur central, NVidia aurait usé d'un subterfuge que certains considéreront comme malin et d'autres comme malhonnête. Selon AMD, NVidia aurait tout simplement désactivé le support multi CPU de sa technologie. Ainsi, les Geforce affichent des résultats très supérieurs à ce que donneraient des processeurs à plusieurs coeurs, autant dire tous maintenant alors que dans le cas contraire la différence de performances aurait été très inférieure.En tant que fabricant de processeurs, AMD se considère donc comme lésé, d'autant plus qu'il l'est également au titre de fabricant de cartes graph...
Le premier constructeur de cartes graphiques est depuis très longtemps... Intel. Le fondeur vend tellement de solutions avec un GM... intégré qu'il est largement devant NVdia et AMD même si ses solutions son difficilement comparables en terme de puissance.Derrière, NVidia avait depuis des années fortement consolidé sa seconde place qu'il pourrait perdre très prochainement selon AMD/ATI. Ils annoncent avoir pris 16% de parts de marché à son concurrent, de quoi lui passer devant.Ces fanfaronnades ne sont qu'anecdotiques, mais elles rappellent que NVidia a passé la pire période de son histoire en perdant une partie de la confiance des ses clients avec l'affaire des puces défectueuses, en laissant AMD lui passer devant avec les dernières Radeon, et en perdant le marché des chipsets la où le 9400M les avait installé avec une croissance spectaculaire (ce n'est pas pour rien qu'Intel a décidé de les bloquer).
Si l'on prête un regard attentif à toutes les gammes sorties par Apple dans le passé et présentement, on s'aperçoit que la société a toujours fait très attention à partager ses achats de puces graphiques entre ATI et NVidia. Les Mac Pro ont toujours eu l'une de ces marques en bas de gamme et l'autre en haut de gamme. De même, si les iMac ont été dotés de carte ATI, les portables ont eu droit à des puces NVidia ou l'inverse.Aujourd'hui, on a droit à des Geforce et des Radeon pour les Mac Pro, des Radeon pour les iMac et des Geforce pour les portables. A priori, les prochains portables auront aussi droit à des cartes NVidia pour épauler la maigre solution intégrée d'Intel hélas incontournable. En effet, le fabricant de puce au caméléon s'est octroyé la part du lion auprès des constructeurs de portables préparant leur nouvelle gamme de machines. Ils auraient décroché le marché pour 4 machines sur 5 grâce à leur nouvelle génération de puces gravées en 40nm et qui se marieraient particulièrement bien avec le chipset d'Intel.Avec un peu de chance, Apple, Intel et NVidia trouveront le moyen de faire basculer le système d'une carte à l'autre en toute transparence en fonction des besoins, sans avoir à relancer la session. Ce serait u...
Voilà longtemps qu'Intel n'avait pas connu d'échec. Chaque sortie de produit, les processeurs Core, les ATOM... avait été un succès sans faille. Mais se lancer sur un nouveau marché est toujours difficile, et ils ont raté leur première tentative d'entrée sur le marché des puces graphiques, ou plutôt ce qui est selon leur vision du futur l'avenir des puces graphiques, Larrabee.Annoncé il y a deux ans, ce système devait révolutionner l'affichage 3D en replaçant les circuits spécialisés des puces graphiques par de nombreux coeurs X86. Après avoir été prometteuse sur le papier, cette technologie s'est noyé entre retard et manque de performances.Il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'Intel a renoncé à commercialiser la première version de ce système sur lequel ils travaillent depuis au moins 3 ans. Officiellement Intel n'a pas renoncé à ce projet, mais il prendra encore plus de retard, de quoi laisser le champ libre à ATI et NVidia, peut-être assez pour qu'ils viennent réellement taquiner les processeurs Intel sur le marché de la puissance brute avec le GPGPU qui lui aussi promet infiniment plus qu'il ne donne.
Faute de pouvoir montrer des cartes fonctionnelles NVidia n'avait pas grand chose à mettre sous la dent de la presse durant le CES. Plutôt que de laisser le champ libre à la concurrence, ils ont annoncé que leurs nouvelles puces graphiques basée sur leur nouvelle architecture, le Fermi, étaient maintenant au stade de production de masse. On devrait donc les voir arriver prochainement sauf nouvelle catastrophe, et il y en a eu pas mal ces derniers temps chez NVidia. Donc, si tout se passe bien, le GF100, la première puce de cette nouvelle gamme démarrera sa commercialisation en mars prochain.Nvidia souhaite avec cette puce reprendre à ATI/AMD le leadership sur le marché des cartes graphiques puissantes perdu avec l'arrivée des Radeon HD 5xx0.
Nous ignorons hélas dans quel délai Apple se décidera à utiliser ces cartes sachant qu'ils ont la fâcheuse habitude depuis des années à ne nous donner les cartes les plus puissantes que quelques semaines avant que de nouvelles n'arrivent...
ABI Research (http://www.abiresearch.com/abiprdisplay.jsp?pressid=922) , société d'études américaine, a récemment annoncée que parmis les systèmes d'exploitations disponibles sur les smartphones (Symbian, windows Mobile et Linux), c'est ce dernier, Linux, qui devrait connaître la plus forte augmentation sur les cinqs prochaines années.En effet, soutenu par Motorola, Intel ou encore Nokia, Linux bénéficie d'un effet de nouveautés et est de plus en plus utilisé sur certains smartphones.D'après Canalys, société d'études américaine, le pingouin représentait environ 6% de parts de marché en 2007, talonnant le constructeur RIM avec son Blackberry, à 7%. Windows Mobile est quant à lui second avec 14% du secteur, mais encore très loin de Symbian qui affichait fiéremment ... 67% du marché.
En attendant l’arrivée des premières cartes graphiques Larrabee, Intel reste le numéro un incontesté sur le marché mondial des cartes graphiques grace à ses contrôleurs intégrés, avec 47,3% de parts de [...]
Lire la suite : Intel reste numéro un mondial des cartes graphiques
Cet article est sur : Clubic.com
Nos amis et partenaires du site Revioo on publié hier un test comparatifs des cartes graphiques AMD(ATI) Sapphire Radeon HD 2900 Pro et Albatron NVIDIA GeForce 8800GTS 320. Ces deux cartes sont bien entendues compatibles avec DirectX 10. Notre confrère a utilisé comme configuration de test, un PC équipé d'un Processeur Intel Core 2 Duo E6600 overclocké à 3GHz (9x333), une carte mère Asus P5B-E Plus, les cartes graphiques Sapphire Radeon HD 2900 Pro et Albatron GeForce 8800 GTS 320, 2x 1Go DDR2 PC2-8000 de mémoire Crucial Ballistix et l'OS (Système d'exploitation) Windows Vista Intégrale 32 Bits. Pour ce qui est des version des drivers et bien ce sont les NVIDIA Forceware 163.69 et ATI Catalyst 7.9 qui ont été retenues.
Dans sa croisade contre Intel, la FTC semble vouloir tout faire pour obliger le fondeur à ouvrir une partie de son marché à la concurrence. Le grand bénéficiaire de cette procédure sera certainement NVidia. En effet, la FTC semble vouloir obliger Intel à permettre à ses concurrents à interfacer leurs produits avec ses processeurs. Or, c'est justement le point qu'Intel a barré à NVidia pour ne pas qu'un successeur du 9400M puisse venir se greffer sur les processeurs Arrendale, les successeurs des Core 2.L'autre point qui doit aussi faire monter Intel au plafond concerne les licences X86. La société est actuellement détentrice de l'essentiel des brevets concernant les instructions X86 sans lesquelles il est impossible de fabriquer un processeur compatible. Actuellement, seul AMD et Via ont une telle licence ce qui leur permet de produire des puces aptes à exécuter le même code que les processeurs Intel, et ce dernier semble ne pas avoir la moindre envie de s'ouvrir à d'autres concurrents. On imagine sans peine que NVidia qui prône la puissance de calcul de ces puces graphiques serait ravi d'avoir une telle licence. Elle leur permettrait d'implémenter dans leurs produits ou à côté des instructions suffisantes pour venir assurer la compatibilité quitte à ce que ce soit ensuite le GPGPU qui assure le rôle ...
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