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Planeta : «Editis restera un éditeur français»
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Dans un entretien exclusif au Figaro , José Manuel Lara, le président du groupe Planeta, premier éditeur espagnol, explique les raisons du projet de rachat à Wendel du groupe Editis.
Petit remaniement au sein de la maison Editis, rachetée l'an passé par Planeta, pour une somme indécente. Ainsi, nous apprenons ce matin que José Manuel Lara, actuel patron de Planeta, justement, prendra la présidence du groupe français, deux mois après la nomination de Christian Brégou, qui débarrasse ainsi le plancher.
Le conseil d'administration réuni le 6 mars a choisi de le mettre à cette place, tandis qu'Alain Kouck sera son vice-président et directeur général. Ce dernier présidait le directoire du conseil d'administration.
Le communiqué publié par Editis explique que la nomination de José Manuel Lara va « doter le conseil d'administration d'une plus grande souplesse dans la prise des décisions ». Pour passer outre les quelques soucis qu'Editis rencontre dans le remboursement de son propre achat JML recherchera « la consolidation du groupe Planeta en tant que grand groupe international de l'édition ».
Enfin, la présence d'Alain Kouck à ses côtés, ce dernier ayant « contribué à la réalisation d'excellents résultats par le Groupe Editis au cours des dernières années, assure la continuité de la gestion du groupe ». La crise, toujours la crise...
La société Wendel a finalisé la vente du numéro deux français de l'édition Editis, qui contrôle notamment Plon, Robert Laffont et les dictionnaires Le Robert, au groupe espagnol Planeta, contribuant ainsi à la création d'un nouveau leader de l'édition en Europe.
Alain Kouck, DG du deuxième groupe d'édition français Editis, dément «formellement» les rumeurs de cession de tout ou partie du groupe par son actionnaire, l'éditeur espagnol Planeta.
Vendredi soir, le groupe espagnol a envoyé à Wendel, propriétaire à 100 % d'Editis, une dernière offre avec comme date butoir lundi soir.
Après la réalisation des consultations et l'obtention des autorisations nécessaires, Wendel a cédé, vendredi 30 mai 2008, Editis au groupe d'édition espagnol...
After carrying out the required consultations and obtaining the necessary authorizations, Wendel sold Editis to the Spanish publishing group Planeta on May 30, 2008. The enterprise value is 1,026...
Après des semaines de tractations et de bluff, Wendel est entré hier en négociations exclusives avec l'espagnol Grupo Planeta pour lui céder finalement dans la journée et très rapidement le numéro deux français de l'édition, Editis.
Dans la dernière ligne droite, le premier éditeur en Espagne et en Amérique latine, propriété de la famille Lara, a mis toutes ses forces dans la bataille pour l'emporter face à Média-Participations, propriétaire de Dargaud et Dupuis, pourtant très motivé par le dossier.
Contrairement à ses promesses, la société contrôlée par la famille de Wendel avec sa figure emblématique qu'est Ernest-Antoine Seillière n'aura pas été un actionnaire de très long terme pour l'éditeur français.
Mais ces acquisitions auront au moins permis d'alimenter la plateforme de distribution Interforum et même d'améliorer la rentabilité du groupe.
Pour mémoire, en 2007, Editis a réalisé un résultat opérationnel de 93 millions d'euros, en hausse de 16 %, pour un chiffre d'affaires de 760 millions. Encore bien loin de l'objectif d'un milliard d'euros de revenus fixé lors du rachat par Wendel, un objectif qui, s'il avait été tenu, aurait permis une introduction en Bourse.
Depuis le désengagement de Vivendi Universal début 2004, Editis était accusé de s'être replié sur la langue française. Mais il va du coup retrouver un...
Après des semaines de tractations et de bluff, Wendel est entré hier en négociations exclusives avec l'espagnol Grupo Planeta pour lui céder finalement dans la journée et très rapidement le numéro deux français de l'édition, Editis.
Dans la dernière ligne droite, le premier éditeur en Espagne et en Amérique latine, propriété de la famille Lara, a mis toutes ses forces dans la bataille pour l'emporter face à Média-Participations, propriétaire de Dargaud et Dupuis, pourtant très motivé par le dossier.
Contrairement à ses promesses, la société contrôlée par la famille de Wendel avec sa figure emblématique qu'est Ernest-Antoine Seillière n'aura pas été un actionnaire de très long terme pour l'éditeur français.
Mais ces acquisitions auront au moins permis d'alimenter la plateforme de distribution Interforum et même d'améliorer la rentabilité du groupe.
Pour mémoire, en 2007, Editis a réalisé un résultat opérationnel de 93 millions d'euros, en hausse de 16 %, pour un chiffre d'affaires de 760 millions. Encore bien loin de l'objectif d'un milliard d'euros de revenus fixé lors du rachat par Wendel, un objectif qui, s'il avait été tenu, aurait permis une introduction en Bourse.
Depuis le désengagement de Vivendi Universal début 2004, Editis était accusé de s'être replié sur la langue française. Mais il va d...
Dans une lettre adressée au président et aux ministres du Travail, Xavier Bertrand, et de la Culture, Christine Albanel, les syndicats du numéro deux de l'édition en France demandent une partie de la plus-value réalisée par Wendel lors du rachat d'Editis par l'espagnol Planeta.
Le PDG du groupe de média espagnol prend la tête du numéro deux français de l'édition.
Le numéro deux français de l'édition devrait être cédé pour 1,026 milliard d'euros. » Bureau Veritas dope les résultats de Wendel (avec jdf.com)
Dans une lettre adressée au président et aux ministres du Travail, Xavier Bertrand, et de la Culture, Christine Albanel, les syndicats du numéro deux de l'édition en France demandent "une partie de la plus-value" réalisée par Wendel lors du rachat d'Editis par l'espagnol Planeta.
La société d'investissement Wendel a annoncé être entrée en négociations pour la cession de la maison d'édition sur la base d'une valeur de 1,026 milliards d'euros.
Wendel veut céder le numéro deux français de l'édition.
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