Le 29 mars 2008
Le risque d'ostéoporose concerne près de 3 000 000 de femmes de plus de 50 ans. Les conséquences de l'ostéoporose peuvent être lourdes. D'où la nécéssité d'un dépistage précoce et d'un traitement suivi le cas échéant.
Or, une femme sur deux traitées contre l'ostéoporose interrompt son traitement dans l'année. Un nouveau traitement vient de voir le jour. Jusqu'alors trimestriel, ce nouveau traitement implique une seule perfusion une fois/ an. Plus de risque d'oubli de [...]
L'ostéoporose sénile concerne les deux sexes et sa prévalence est étroitement associée à l'âge. Son traitement préventif mérite idéalement d'être envisagé bien en amont des complications de l'ostéoporose. Les études...
Les études épidémiologiques ont montré que la prévalence de l'ostéoporose chez l'homme a augmenté de 50 % au cours de ces 15 dernières années, avec un taux de risque de fracture de hanche appelé à doubler d'ici 2040....
La consommation de boissons au cola aggraverait le risque d'ostéoporose en contribuant à la réduction de la densité minérale osseuse, selon une étude épidémiologique américaine dont les résultats sont publiés dans l'« American Journal of Clinical Nutrition ».
Alors qu'aujourd'hui 8 femmes à haut risque sur 10 ne sont pas correctement traitées, et que face à une population vieillissante l'ostéoporose est en passe de devenir un véritable problème de santé publique, la recherche peut-elle proposer de nouvelles options thérapeutiques qui répondent aux objectifs d'amélioration de qualité de vie pour les patientes et d'impact économique pour la société.
Pour les professionnels vous avez une conférence de presse à Paris le 30 novembre sur la Biotechnologie et la prise en charge de l'ostéoporose, post ménopausique avec les nouvelles perspectives.
14/05/2007 - Une perfusion annuelle d'acide zolédronique a pendant trois ans réduit de manière significative le risque de fracture vertébrale, de fracture de la hanche et des autres types de fracture chez les femmes post ménopausées souffrant d'ostéoporose
14/05/2007 - Une perfusion annuelle d'acide zolédronique a pendant trois ans réduit de manière significative le risque de fracture vertébrale, de fracture de la hanche et des autres types de fracture chez les femmes post ménopausées souffrant d'ostéoporose
14/05/2007 - Une perfusion annuelle d'acide zolédronique a pendant trois ans réduit de manière significative le risque de fracture vertébrale, de fracture de la hanche et des autres types de fracture chez les femmes post ménopausées souffrant d'ostéoporose
Si les recommandations internationales préconisent les bisphosphonates chez les patients ayant déjà, ou à haut risque d'avoir une ostéoporose induite par la corticothérapie, peu d'études ont évalué l'intérêt de la parathormone...
L'exercice physique réduit le risque d'ostéoporose et des fractures qui lui sont liées. Un des meilleurs moyens pour obtenir et maintenir des os solides est l'exercice physique, note le Professeur Helmut Minne,...
En France, l'ostéoporose touche de 30 à 40 % des femmes ménopausées et jusqu'à 50 % de celles de plus de 75 ans. Elle se traduit par une déminéralisation...
Un médicament contre l'ostéoporose, le Zometa du laboratoire suisse Novartis, a réduit de 35% le risque de récurrence chez des femmes pré-ménopausées atteintes d'un cancer précoce du sein, selon un essai clinique prometteur présenté à Chicago.
Ursula Andress encourage les femmes à dire au docteur : no à l'ostéoporose. C'est cette ex-James Bond girl, elle-même touchée par une forme précoce de...
Une alimentation riche et équilibrée permet d'assurer des os plus solides et de prévenir ainsi l'ostéoporose, a rappelé le Pr Pierre Delmas (CHU de Lyon), président de la Fondation Internationale de l'ostéoporose, lors d'une conférence de presse organisée à Paris par le Grio (Groupe de recherche et d'informations sur les ostéoporoses) en amont de la Journée mondiale contre cette affection, qui se tient vendredi 20 octobre et est consacrée au thème de l'alimentation et la nutrition.
Les moyens de dépister, diagnostiquer et traiter l'ostéoporose se diversifient et s'améliorent sans cesse. Mais en ce domaine comme en d'autres, les rhumatologues ne cessent de le répéter : mieux vaut prévenir que guérir.
