Les pays forestiers, qui rappellent que la déforestation compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES), refusent de brader leurs arbres et attendent un engagement financier des pays industrialisés dans le futur accord de Copenhague contre le réchauffement.
A deux semaines de l'ouverture de la conférence internationale sur le climat à Poznan, le secrétariat de la CCNUCC s'inquiète, dans un rapport, de la hausse continue des émissions de gaz à effet de serre des pays industrialisés depuis 2000.
En un siècle, les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère ont augmenté de 30%. A eux seuls, les pays industrialisés sont responsables de 60% des émissions de gaz à effet de serre à l'échelle globale, bien qu'ils ne représentent que 20% de la population mondiale. Par ailleurs, 50% des émissions de gaz à effet de serre sont le fait des particuliers. Avec CO2 solidaire, vous avez l'occasion d'agir concrètement pour préserver le climat.
Les grands pays forestiers vont enfin pouvoir faire valoir et surtout rémunérer leurs efforts de protection de la forêt, dont la destruction compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre, mais qui avaient été laissées pour compte par le Protocole de Kyoto.
Les grands pays forestiers vont enfin pouvoir faire valoir et surtout rémunérer leurs efforts de protection de la forêt, dont la destruction compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre, mais qui avaient été laissées pour compte par le Protocole de Kyoto.
Les grands pays forestiers vont enfin pouvoir faire valoir et surtout rémunérer leurs efforts de protection de la forêt, dont la destruction compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre, mais qui avaient été laissées pour compte par le Protocole de Kyoto.
Les grands pays forestiers vont enfin pouvoir faire valoir et surtout rémunérer leurs efforts de protection de la forêt, dont la destruction compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre, mais qui avaient été laissées pour compte par le Protocole de Kyoto.
Les grands pays forestiers vont enfin pouvoir faire valoir et surtout rémunérer leurs efforts de protection de la forêt, dont la destruction compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre, mais qui avaient été laissées pour compte par le Protocole de Kyoto.
Les pays européens se refusent pour l'heure à chiffrer l'aide financière promise aux pays en développement afin de les aider à lutter contre le réchauffement climatique, préférant attendre des engagements précis des Etats-Unis sur les émissions de CO2.
La France s'est durement heurtée jeudi à ses partenaires européens sur la prise en compte des émissions liées aux forêts des pays industrialisés dans le futur accord contre le réchauffement climatique.
Les pays asiatiques se sont déclarés satisfaits dimanche de l'accord obtenu au sommet climat de l'ONU à Copenhague, jugeant qu'il jetait les bases d'un consensus sur les réductions des émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.
Les chefs d’Etat et de gouvernement des huit pays les plus industrialisés se sont accordés le 8 juillet lors du sommet de Toyako sur un objectif commun : la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 50% d’ici à 2050.
Les pays du G8 se sont engagés à ce que les émissions mondiales de gaz à effet de serre soient divisées au moins par deux d'ici à 2050, ouvrant ainsi la voie à un accord global lors de la conférence climat de l'Onu à Copenhague à la fin 2009. Pour la première fois, les Etats-Unis ont souscrit à cette perspective après avoir obtenu des aménagements de date et de contraintes de la part de leurs pairs.
La définition d'objectifs à moyen terme, pays par pays, avant 2050, est retenue dans son principe, les modalités seront fixées à une date ultérieure.
De nouveaux moyens soutiendront ce plan lancé par le G8 :
- 10 milliards de dollars par an au cours des prochaines années permettront le lancement de 20 projets expérimentaux de capture de stockage de carbone (CCS) d'ici à 2010.
- la création par la Banque mondiale de deux fonds pour lutter contre le réchauffement climatique, auxquels les pays du G8 apporteront 6 milliards de dollars.
Ces fonds permettront notamment d'appuyer les efforts des grands pays émergents.
Au lendemain de cet engagement du G8, les dirigeants des 16 principales économie...
Les grands pays en développement réaffirment leur attachement au Protocole de Kyoto qui reste l'instrument légal appelant l'ensemble des pays industrialisés à réduire de 40% leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2020 par rapport à 1990, dans un document publié jeudi.
Les engagements actuels des pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre provoqueront au minimum un réchauffement de la terre de +2°C, considéré comme la limite à ne pas franchir, selon une étude publiée jeudi dans la revue scientifique britannique Nature.
Les ministres de l'Environnement des pays du G8 se sont mis d'accord lundi pour que les pays riches donnent l'exemple dans la lutte contre le réchauffement climatique, avec un objectif de réduction d'au moins 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050.