L’Autorité de sûreté nucléaire vient de rendre un rapport sur les centrales nucléaires de la région Centre. Celui-ci ne relève aucune anomalie inquiétante. Des inspections ont été faites dans les centrales situées entre Béville, dans le Cher, et Chinon en Indre-et-Loire. Selon l’ASN, le site de Dampierre serait performant. Le site de Saint-Laurent-des-Eaux est, quant à lui, considéré comme « globalement dans la moyenne ».
Les quatre centrales nucléaires du Val de Loire présentent un niveau de sécurité « globalement satisfaisant » mais « la rigueur d'exploitation des réacteurs doit encore être améliorée », a indiqué, l'Autorité de sûreté nucléaire lors de son bilan annuel. Au cours de l'année 2006, 11 incidents de niveau 1, sur une échelle graduée de 1 à 7, ont été déclarés, soit autant qu'en 2005. Dans le détail, 5 ont été signalés en 2006 à Belleville-sur-Loire (Cher), 2 à Dampierre-en-Burly (Loiret), 1 à Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) et 3 à Chinon (Indre-et-Loire). La majorité de ces événements proviennent d'erreurs humaines ou d'un manque de rigueur dans l'application des procédures. En 2007, le résultat pourrait être encore meilleur puisque cinq incidents de niveau un seulement avaient été déclarés au 30 septembre. Le Val de Loire compte 12 réacteurs à eau sous pression en exploitation, dix de 900 mégawatts et deux de 1.300 mégawatts, ainsi que cinq réacteurs à uranium naturel graphite gaz, à Chinon et Saint-Laurent-des-Eaux, en cours de démantèlement.
Un bilan annuel des installations nucléaires situées en région Champagne-Ardennes publié vendredi, dénonce des manques dans les centrales de Nogent-sur-Seine (Aube) et de Chooz (Ardennes).
L' ASN (Autorité de Sureté Nucléaire) a adressé le 15 janvier 2008 un courrier à EDF lui demandant de renforcer les dispositions prises en matière de prévention des risques liés à la présence de légionelles dans les circuits de refroidissement des centrales nucléaires.
Des légionelles sont susceptibles de se développer dans les grandes tours aéroréfrigérantes (1) de onze des dix-huit centrales nucléaires d'EDF (Belleville, Bugey, Cattenom, Chinon, Chooz, Civaux, Cruas, Dampierre, Golfech, Nogent et Saint-Laurent). Une note d'information pulibée par l'ASN a été émise à ce sujet le 21 juin 2006.
A la demande de l'ASN, EDF avait mis à jour son plan d'actions à la fin de l'année 2006. L'ASN considère que les traitements biocides (2) déjà mis en ?uvre par EDF sur certaines centrales nucléaires sont utiles mais doivent encore être complétés par des actions alternatives, afin de mieux stabiliser les niveaux de colonisation en légionelles et de maîtriser rapidement tout pic de colonisation. Ces dispositions doivent à l'évidence tenir compte des particularités de chaque centrale nucléaire et de son environnement.
L'ASN a demandé qu'EDF poursuive toutes les démarches permettant de limiter les colonisations en légionelles au niveau le plus bas raisonnablement possible, en particulier pour les tours des centrales nucléaires ne faisant pas l'objet à ce jour de traitement biocide. En parallèle, l'ASN poursuit ses réflexions sur l'évolution de l'encadrement réglementaire. 1 Ces tours per...
Les premiers « examens des 30 ans » des centrales nucléaires françaises ont commencé. Ils permettront de voir si ces centrales sont aptes à fonctionner dix ans de plus. Mais EDF en veut davantage : prolonger ses centrales jusqu'à au moins 60 ans.
Les premiers « examens des 30 ans » des centrales nucléaires françaises ont commencé. Ils permettront de voir si ces centrales sont aptes à fonctionner dix ans de plus. Mais EDF en veut davantage : prolonger ses centrales jusqu'à au moins 60 ans.
Les centrales nucléaires inquiètent de plus en plus : deux fuites ont été constatées en dix jours. Elles posent question sur l'énergie nucléaire, une façon de produire de l'électricité en France.
Les conservateurs de la CDU et les libéraux du FDP, qui négocient actuellement la formation du nouveau gouvernement, se sont mis d'accord pour une prolongation de vie de certaines centrales nucléaires sans préciser lesquelles. ...
Le Royaume-Uni a autorisé jeudi la construction de nouvelles centrales nucléaires malgré l'opposition des écologistes, un marché qui intéresse plusieurs groupes français, dans un pays où moins d'un cinquième de l'électricité vient du nucléaire contre près de 80% en France.
L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a mis en ligne le 18 décembre trois rapports qui font l'analyse de l'état de la sûreté nucléaire. La France compte 58 réacteurs nucléaires d...
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé mardi vouloir mieux prendre en compte les rejets radioactifs des centrales nucléaires dans l'environnement, suite à un incident l'été dernier au Tricastin (Drôme) et au refus d'agréement des laboratoires d'EDF qui mesurent ces rejets.
L'Autorité de sûreté nucléaire a donné hier un accord de principe pour le passage de 30 à 40 ans de la durée d'exploitation des 34 réacteurs de 900 mégawatts d'EDF. De l'Espagne à la Belgique, en passant par l'Allemagne, l'atome joue les prolongations.
Les centrales nucléaires, partout dans le monde s'avèrent, vieilles, vétustes et mal entretenues.Volonté d'économie, sort de tout bâtiment, surtout industriels soumis à de fortes contraintes physiques, les centrales n'échappent pas à la règle commune. De plus le japon, très instable géologiquement doit supporter 55 centrales nucléaires produisant de 35 à 40 % de son électricité.La centrale de Kashiwazaki-Kariwa, pas trés éloignée de l'épicentre d'un tremblement de terre qui a eu lieu lundi, a laissé échappé 90 000 becquerels de radioactivité,...
D'abord, on va bombarder ceux qui veulent des centrales nucléaires.Puis on bombardera ceux qui veulent pas de centrales nucléaires.Faire et défaire, c'est toujours s'agiter.Bon, d'accord, c'est moins facile de tirer sur ceux qui n'ont pas de centrales en construction. Qu'est ce qu'on bombarde chef ? dirait jean lefebvre à son chef.Mais enfin, s'il faut bombarder une cible, il ira la chercher.Il n'y a pas une énergie de l'avenir pour les pays occidentaux et des pays d'Orient qui n'auraient pas le...
La Grande-Bretagne veut accroitre la part de l'énergie nucléaire dans son bouquet de production électrique. Pour l'heure, celui ci se situe ainsi : - 20 % pour ses 14 centrales nucléaires, - 40 % pour les centrales au gaz; - 33 % pour les centrales au charbon. La première centrale étant opérationnelle en 2017. Cet objectif semble hors d'atteinte, en même temps que farfelu.