Le procès de l'affaire du déversement, en août 2006 à Abidjan, des déchets toxiques du cargo Probo Koala, qui a entraîné la mort de 17 personnes et fait des milliers d'intoxiqués, a été suspendu lundi et doit reprendre mercredi à Abidjan après une journée de mardi fériée.
De lourdes peines ont été requises mardi dans le procès sur le déversement en août 2006 à Abidjan des déchets toxiques du cargo Probo Koala, affrété par la multinationale Trafigura, qui ont provoqué la mort de 17 personnes et des milliers d'intoxications.
En septembre 2006, un navire pétrolier grec, le Probo Kaola, déversait sur une zone de décharge à Abidjan en Côte d'Ivoire, plus de cinq cents tonnes de déchets toxiques. Une catastrophe environnementale sans précédant dans la capitale économique ivoirienne, qui a causé le décès de 17 personnes et occasionné une intoxication de plusieurs milliers d'autres.
En septembre 2006, un navire pétrolier grec, le Probo Kaola, déversait sur une zone de décharge à Abidjan en Côte d'Ivoire, plus de cinq cents tonnes de déchets toxiques. Une catastrophe environnementale sans précédant dans la capitale économique ivoirienne, qui a causé le décès de 17 personnes et occasionné une intoxication de plusieurs milliers d'autres.
Deux ans après le déversement à Abidjan des déchets toxiques du cargo Probo Koala, qui ont fait 17 morts et des milliers d'intoxiqués, le procès de cette affaire va s'ouvrir lundi devant une cour d'assises, en l'absence de l'affréteur du bateau, la multinationale Trafigura.
La cour d'assises de Côte d'Ivoire a rendu mercredi soir un verdict contrasté dans l'affaire du déversement en août 2006 des déchets toxiques du cargo Probo Koala, affrété par Trafigura, condamnant à 20 et 5 ans de prison deux accusés mais en acquittant les sept autres.
Trafigura,
l'affréteur du cargo Probo Koala qui a
déchargé des déchets toxiques en 2006 en
Côte d'Ivoire, le capitaine, la ville d'Amsterdam et
une société de retraitement de déchets sont
assignés à comparaître fin juin à La
Haye, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
La cour d'assises de Côte d'Ivoire a rendu mercredi soir un verdict contrasté dans l'affaire du déversement en août 2006 des déchets toxiques du...
Le procès du Probo Koala s'est ouvert ce lundi à Abidjan, deux ans après les faits, avec à la barre 9 inculpés sur les 12 ayant reçu une convocation à comparaître. Cette sale affaire a en effet débuté lorsque le Probo Koala, cargo grec spécialisé dans le transport d'hydrocarbures, a jeté l'ancre au port de la capitale économique ivoirienne.
Le procès du Probo Koala s'est ouvert ce lundi à Abidjan, deux ans après les faits, avec à la barre 9 inculpés sur les 12 ayant reçu une convocation à comparaître. Cette sale affaire a en effet débuté lorsque le Probo Koala, cargo grec spécialisé dans le transport d'hydrocarbures, a jeté l'ancre au port de la capitale économique ivoirienne.
Trois ans après le déversement des résidus toxiques du cargo Probo Koala, un rapport de l'ONU a établi jeudi un lien solide entre ces déchets et des décès survenus à Abidjan, au grand dam de la multinationale Trafigura, affréteur du cargo, qui vise un accord à l'amiable avec des victimes.
La cour d'assises enregistre ce matin la comparution de 13 personnes, accusées de crime d'empoisonnement, de tentative d'empoisonnement et de complicité d'empoisonnement, dans l'affaire du déversement de 500 tonnes de déchets toxiques dans la ville d'Abidjan en août 2006.
La cour d'assises enregistre ce matin la comparution de 13 personnes, accusées de crime d'empoisonnement, de tentative d'empoisonnement et de complicité d'empoisonnement, dans l'affaire du déversement de 500 tonnes de déchets toxiques dans la ville d'Abidjan en août 2006.
Au deuxième jour du procès des déchets mortels du Probo Koala, déversés en août 2006 à Abidjan, le principal accusé s'est défendu avec force devant la cour d'assises de Côte d'Ivoire en affirmant avoir été trahi par la multinationale Trafigura, affréteur du bateau.
Le président de l'Ong Action pour la protection des droits humains a soutenu que le procès des déchets toxiques en Cour d'assises était biaisé. Il a aussi remis en cause la transaction entre l'Etat de Côte d'Ivoire et Trafigura.