Trois ans après le déversement des résidus toxiques du cargo Probo Koala, un rapport de l'ONU a établi jeudi un lien solide entre ces déchets et des décès survenus à Abidjan, au grand dam de la multinationale Trafigura, affréteur du cargo, qui vise un accord à l'amiable avec des victimes.
Le procès de l'affaire du déversement, en août 2006 à Abidjan, des déchets toxiques du cargo Probo Koala, qui a entraîné la mort de 17 personnes et fait des milliers d'intoxiqués, a été suspendu lundi et doit reprendre mercredi à Abidjan après une journée de mardi fériée.
Deux ans après le déversement à Abidjan des déchets toxiques du cargo Probo Koala, qui ont fait 17 morts et des milliers d'intoxiqués, le procès de cette affaire va s'ouvrir lundi devant une cour d'assises, en l'absence de l'affréteur du bateau, la multinationale Trafigura.
Les fonds d'indemnisation de victimes des déchets toxiques du cargo Probo Koala, sous séquestre depuis fin octobre 2009 et qui devaient être remis à une association, restent bloqués sur décision de la Cour suprême ivoirienne, a-t-on appris samedi de source judiciaire.
La justice ivoirienne a ordonné vendredi le déblocage des fonds devant indemniser des victimes des déchets toxiques du cargo Probo Koala, sous séquestre depuis fin octobre 2009, a-t-on appris de source judiciaire.
Le procès du Probo Koala s'est ouvert ce lundi à Abidjan, deux ans après les faits, avec à la barre 9 inculpés sur les 12 ayant reçu une convocation à comparaître. Cette sale affaire a en effet débuté lorsque le Probo Koala, cargo grec spécialisé dans le transport d'hydrocarbures, a jeté l'ancre au port de la capitale économique ivoirienne.
Le procès du Probo Koala s'est ouvert ce lundi à Abidjan, deux ans après les faits, avec à la barre 9 inculpés sur les 12 ayant reçu une convocation à comparaître. Cette sale affaire a en effet débuté lorsque le Probo Koala, cargo grec spécialisé dans le transport d'hydrocarbures, a jeté l'ancre au port de la capitale économique ivoirienne.
De lourdes peines ont été requises mardi dans le procès sur le déversement en août 2006 à Abidjan des déchets toxiques du cargo Probo Koala, affrété par la multinationale Trafigura, qui ont provoqué la mort de 17 personnes et des milliers d'intoxications.
(De Ouagadougou) En septembre 2006, un navire pétrolier grec, le « Probo Koala », déversait sur une zone de décharge à Abidjan, en Côte d'Ivoire, plus de 500 tonnes de déchets toxiques. Une catastrophe environnementale sans précédant dans la capitale économique ivoirienne, qui a causé le décès de 17 personnes et occasionné une intoxication de plusieurs milliers d'autres.
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La cour d'assises de Côte d'Ivoire a rendu mercredi soir un verdict contrasté dans l'affaire du déversement en août 2006 des déchets toxiques du cargo Probo Koala, affrété par Trafigura, condamnant à 20 et 5 ans de prison deux accusés mais en acquittant les sept autres.
Le procès d'Abidjan sur le déversement en 2006 des déchets mortels du cargo Probo Koala, affrété par la multinationale Trafigura, va reprendre lundi avec l'audition des témoins dans ce scandale qui, après une semaine d'audiences, conserve de nombreuses zones d'ombre.
Le procès d'Abidjan sur le déversement en 2006 des déchets mortels du cargo Probo Koala, affrété par la multinationale Trafigura, va reprendre lundi avec l'audition des témoins dans ce scandale qui, après une semaine d'audiences, conserve de nombreuses zones d'ombre.
Le président ivoirien Laurent Gbagbo a conclu mardi un accord amiable et définitif avec la multinationale Trafigura qui s'est engagée à lui payer 152 millions d'euros en échange de l'abandon des poursuites dans l'affaire ...
Les avocats de la défense au procès d'Abidjan sur les déchets mortels du cargo Probo Koala ont demandé mardi en vain son report en raison de l'absence du dirigeant de la filiale ivoirienne de Trafigura, principal témoin dans ce scandale.
Après la découverte de produits suspects à M'Bahiakro ayant conduit au moins trois cents personnes à l'hôpital, le ministre en charge de l'environnement apporte des précisions. « Ce ne sont pas des déchets toxiques du type Probo Koala », affirme-t-il dans un entretien. Tout en rassurant que lesdits produits seront enlevés et détruits « d'ici une quinzaine de jours ».