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La chronique de juin,

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Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :

La chronique de juin,... ()

retraite et voile.   Ce mois de juin a été fertile en évènements politiques. Nous avons eu le passage d'une logique visant à sortir de pauvreté à une logique du travail par le RSA. Il donne un peu plus aux pauvres mais comporte des risques en instituant la précarité. Mauvais départ pour le RSA à lire ici. (http://www.alternatives-economiques.fr/mauvais-depart-pour-le-rsa_fr_art_841_43186.html) Le Revenu de Solidarité Active, le RSA, remplace différentes allocations dont le RMI et permet de les cumuler avec les revenus d'un travail partiel. En 1988, lors de la création du RMI (Revenu minimum d'insertion) par la gauche, la droite s'était élevée arguant que l'individu mérite qu'on l'aide, certes, il a des droits, mais aussi des devoirs, notamment celui de chercher du boulot. Le débat s'était ouvert entre une morale de l'effort et une morale de la solidarité. La gauche l'a emporté et avec elle s'introduit une révolution, le lien qui existait entre revenu et travail a été dénoué au profit d'une autre logique, le droit d'insertion, comme le raconte la sociologue Monique Dagnaud, directrice de recherche au CNRS, dans un livre qui retrace la naissance politique du RSA. Seulement le RSA qui est censé résorber la précarité est encore un cadeau fait aux entreprises par l'apport d'une main d'œuvre bon marché. En fait, tout simplement, il officialise le fait que les entreprises ont le droit de payer leurs salarié...

La chronique de juin,... ()

retraite et voile.   Ce mois de juin a été fertile en évènements politiques. Nous avons eu le passage d'une logique visant à sortir de pauvreté à une logique du travail par le RSA. Il donne un peu plus aux pauvres mais comporte des risques en instituant la précarité. Mauvais départ pour le RSA à lire ici. (http://www.alternatives-economiques.fr/mauvais-depart-pour-le-rsa_fr_art_841_43186.html) Le Revenu de Solidarité Active, le RSA, remplace différentes allocations dont le RMI et permet de les cumuler avec les revenus d'un travail partiel. En 1988, lors de la création du RMI (Revenu minimum d'insertion) par la gauche, la droite s'était élevée arguant que l'individu mérite qu'on l'aide, certes, il a des droits, mais aussi des devoirs, notamment celui de chercher du boulot. Le débat s'était ouvert entre une morale de l'effort et une morale de la solidarité. La gauche l'a emporté et avec elle s'introduit une révolution, le lien qui existait entre revenu et travail a été dénoué au profit d'une autre logique, le droit d'insertion, comme le raconte la sociologue Monique Dagnaud, directrice de recherche au CNRS, dans un livre qui retrace la naissance politique du RSA. Seulement le RSA qui est censé résorber la précarité est encore un cadeau fait aux entreprises par l'apport d'une main d'œuvre bon marché. En fait, tout simplement, il officialise le fait que les entreprises ont le droit de payer leurs salarié...

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