Nicolas Sarkozy a défendu jeudi sa décision de taxer les revenus du capital pour financer la généralisation du Revenu de solidarité active (RSA),...
Plusieurs personnalités de l'UMP font part de leurs doutes quant à l'hypothèse de taxer les revenus du capital pour financer le revenu de solidarité active (RSA). La gauche se dit favorable à cette idée tout en estimant que Nicolas Sarkozy reconnaît par là-même «l'erreur» du paquet fiscal
Nicolas Sarkozy doit détailler demain les modalités du revenu de solidarité active, qui sera généralisé à compter de la mi-2009. Une contribution de 1 % sur les revenus de patrimoine et de placement permettra de financer le coût du dispositif.C'est un message politique fort que Nicolas Sarkozy s'apprête à lancer, demain à Laval (Mayenne), en dévoilant les contours du revenu de solidarité active, dont la généralisation doit être actée dans un projet de loi présenté mercredi prochain en Conseil des ministres (« Les Echos » du 11 août).
Nicolas Sarkozy aurait décidé de financer le Revenu de solidarité active grâce à une taxe sur les revenus du capital à hauteur de 1%. Pour le PS, c'est une mesure légitime.
La Fnaim accueille avec « la plus vive inquiétude » la décision de Nicolas Sarkozy de recourir à une taxation supplémentaire des revenus fonciers pour financer le revenu de solidarité active (RSA). La Fédération dénonce notamment une mesure qui « risque définitivement de décourager les investisseurs qui étaient acquis à l'immobilier et de dissuader les vocations ».
Lors du discours qu'il pronon ...
Sarkozy annoncera jeudi un nouveau prélèvement de 1% sur les revenus de patrimoine et de placement destiné à financer le revenu de solidarité active, selon «Les Echos».
Sarkozy annoncera jeudi un nouveau prélèvement de 1% sur les revenus de patrimoine et de placement destiné à financer le revenu de solidarité active, selon «Les Echos».
Sarkozy annoncera demain un nouveau prélèvement de 1% sur les revenus de patrimoine et de placement destiné à financer le revenu de solidarité active, selon «Les Echos».
Nicolas Sarkozy a confirmé le 28 août en Mayenne qu'une taxation supplémentaire de 1,1% des revenus du capital serait mise en place pour financer le surcoût de la généralisation du Revenu de ...
A l'UMP, certains font part de leurs doutes quant à l'hypothèse de taxer les revenus du capital pour financer le RSA. La gauche y est plus favorable et estime que Nicolas Sarkozy reconnaît ainsi «l'erreur» du paquet fiscal.
A l'UMP, certains font part de leurs doutes quant à l'hypothèse de taxer les revenus du capital pour financer le RSA. La gauche y est plus favorable et estime que Nicolas Sarkozy reconnaît ainsi «l'erreur» du paquet fiscal.
Le gouvernement va taxer les revenus du capital pour financer le revenu de solidarité active (RSA). Le chef de l'Etat a décidé de mettre à contribution les revenus de patrimoine (revenus fonciers...) et de placement (dividendes, assurance-vie, etc.) via l'instauration...
Le président de la République doit détailler aujourd'hui à Laval (Mayenne) les modalités de la généralisation, mi-2009, du revenu de solidarité active. Nicolas Sarkozy entend défendre la taxation à hauteur de 1,1 % des revenus de patrimoine et de placement au nom, selon son entourage, de la valeur...
Ce mardi, Nicolas Sarkozy a annoncé une mesure aux (faux ? ) airs de Robin des Bois. Il manquait à Martin Hirsch 1,4 milliard d'euros pour financer son Revenu de solidarité active (RSA) ? Il les prend dans la poche des épargnants, avec une nouvelle taxe sur les revenus du capital. Sont visés par ce nouveau prélèvement les revenus issus du patrimoine, ainsi que les dividendes et l'assurance-vie. Les détails de ces mesures doivent être donnés ce mercredi lors d'un déplacement présidentiel à Laval (Mayenne).
Nicolas Sarkozy veut puiser dans les revenus des plus aisés pour financer le retour à l'emploi des personnes touchant les minima sociaux. Une taxe de 1% sur les revenus du capital permettrait de remplir les caisses afin de généraliser en 2009 le RSA (revenu de solidarité active), actuellement testé dans plus d'une trentaine de départements. C’est une petite révolution qui se prépare dans le mode de financement des minima sociaux. Après avoir un temps envisagé de puiser dans la prime pour (...)
-
POLITIQUE