Feu vert hier au «plan stratégique» de SNBA et Virgin Express.L'accent sera d'abord mis sur l'intégration.Rendez-vous en 2007 pour la création d'une compagnie unique. Lever de rideau ce vendredi matin.
C'est donc ce mardi matin qu'Etienne Davignon, l'un des artisans de la création de SN Brussels Airlines (SNBA) sur les cendres de la défunte Sabena, dévoilera les détails du rapprochement entre SNBA et Virgin Express. Pour rappel, les deux compagnies resteront indépendantes l'une de l'autre mais convoleront désormais sous la coupole d'actionnaires communs, réunis au sein de SN Airholding.
Il semble bien que SNBA et Virgin Express ne resteront pas à terme deux compagnies distinctes.Le scénario le plus probable: celui d'une fusion et de la création d'une compagnie unique.Le prix de la viabilité?
La Sabena a vécu, puis est entrée dans l'Histoire, très tristement. Une compagnie aérienne belge lui a succédé, SNBA, qui convole – c'est le mot - en justes noces, avec Virgin Express. Quel sera son nom?
On le sait, les compagnies belges SN Brussels Airlines (SNBA) et Virgin Express, sous la coupole d'actionnaires communs réunis au sein du holding SN Airholding, sont engagés sur la voie de la fusion. A l'automne prochain, une compagnie unique verra le jour -le nom reste à trouver mais ce ne sera en tout cas pas «Sabena».
L'année 2006 sera celle de pas mal de chantiers pour la compagnie belge SN Brussels Airlines (SNBA). Le plus important d'entre eux portera évidemment sur l'élaboration d'un plan stratégique balisant la stratégie future de SNBA et de Virgin Express, désormais sous la coupole d'actionnaires communs, réunis au sein de SN Airholding.
Philippe Vander Putten sera le prochain CEO. Un homme de marketing. Qui sera l'exécutant... d'une stratégie élaborée par d'autres. Depuis quelques mois, on se demandait qui allait piloter les compagnies belges SN Brussels Airlines (SNBA) et Virgin Express, sur la voie de la fusion et à la recherche d'un nouveau CEO censé prendre le relais du Britannique Neil Burrows, qui est sur le départ.
SN Brussels Airlines et Virgin Express volent désormais ensemble. Cependant, en interne, le personnel se pose pas mal de questions sur la voie choisie. Mais aussi sur le rythme des changements. Simple déficit de communication? Mais que se passe-t-il chez SN Brussels Airlines (SNBA)?
En six mois, une dizaine de pilotes ont quitté volontairement la compagnie aérienne belge «low cost» Virgin Express, dont la fusion avec SN Brussels Airlines (SNBA) est en cours et débouchera sur la création d'une nouvelle marque commune. Et plusieurs responsables du management opérationnel ont été évincés, dont un instructeur.
Maitre Adler, notaire à Paris répond aux questions relatives à l'achat d'un bien immobilier à deux : mariage, pacs, union libre, divorce, séparation.
D'ici quelques mois, deux compagnies belges disparaîtront du ciel belge, soit SN Brussels Airlines et Virgin Express. Mais heureusement, cette fois, ce ne sera pas à la suite de faillites comme cela a été trop souvent le cas dans notre pays ces dernières années avec la Sabena, City Bird ou Delsey Airlines.
Rob Kuijpers prêt à quitter ses fonctions?» Jeudi, le «Trends» rapportait que le président exécutif de SN Brussels Airlines (SNBA) aurait, à différentes occasions, laissé entendre qu'il pourrait quitter la barre, ne supportant pas l'attitude de certains membres de son conseil d'administration. Notamment celle d'Etienne Davignon, président de SN Airholding (NdlR: le holding qui regroupe les investisseurs privés actionnaires de SNBA), jugé trop dirigiste par le patron néerlandais.
La jeune compagnie aérienne belge SN Brussels Airlines (SNBA) vient de traverser une passe difficile suite aux départs de son président exécutif, le Néerlandais Rob Kuijpers, et de son CEO, le Britannique Peter Davies.
La semaine dernière, la direction de la jeune compagnie belge SN Brussels Airlines (SNBA) avait annoncé sa décision de distribuer 1 million d'euros à son personnel en guise de remerciement des efforts accomplis depuis trois ans. Il faut dire que le personnel de SNBA - qui pour une partie de celui-ci venait tout droit de la défunte Sabena - avait dû accepter des conditions salariales nettement moins attrayantes que celles pratiquées au sein de l'ex-compagnie nationale.
Union et procréation : Développements de la doctrine des fins du mariage
Pages: 307, Edition: [Nouv. éd.], Broché, Cerfvoir Cliquez-ici