29/05/2007 - Au fur et à mesure de nouvelles découvertes génétiques un profil génétique pourrait se dessiner, ce qui donnerait aux médecins une projection du risque individuel et pourrait même conduire à des thérapeutiques préventives
29/05/2007 - Au fur et à mesure de nouvelles découvertes génétiques un profil génétique pourrait se dessiner, ce qui donnerait aux médecins une projection du risque individuel et pourrait même conduire à des thérapeutiques préventives
Les caractéristiques génétiques des tumeurs responsables des cancers du sein et du côlon varient fortement d'un patient à l'autre, ce qui pourrait nécessiter une adaptation des traitements à chaque individu, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.Après avoir analysé plus de 18.000 gènes, des chercheurs de l'université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland, est) en ont identifié 300 directement liés au cancer colorectal ou au cancer du sein, dont seuls quelques-uns présentaient des mutations génétiques fréquemment observées.La plupart des mutations génétiques observées apparaît au contraire de manière peu fréquente et varie considérablement d'un individu à un autre.Les généticiens travaillant dans la recherche sur le cancer ont longtemps pensé qu'ils découvriraient un petit nombre de gènes responsables des différentes formes de cette maladie, mais il semblerait que les choses soient beaucoup plus complexes et que des groupes de gènes, plutôt que des gènes isolés, soient en cause.Cela rend le traitement de ces cancers plus compliqué, estime Victor Velculescu, professeur d'oncologie au Kimmel Cancer Center de l'université Johns Hopkins.Cela signifie que nous allons devoir tailler des traitements sur mesure pour les individus, afin de cibler les caractéristiques génétiques spécifiques de leurs cancers. Cela laisse penser qu'à l'avenir, le traitement du cancer sera personnalisé, explique-t-il jugeant que les médicaments que nous utilisons actuellement sont trop grossie...
Une équipe de chercheurs britanniques a permis de définir de nouveaux gènes jouant un rôle dans la transmission génétique du cancer du sein.
Les facteurs génétiques sont au premier plan des facteurs de risque du cancer du sein (KS) et les gènes BRCA1 et BRCA2 n?en représentent qu'un modeste exemple. On sait également que le risque de cancer du sein bilatéral (KSB)...
Quatre nouveaux gènes jouant un rôle dans la transmission génétique du cancer du sein ont été identifiés, améliorant la connaissance d'un des cancers les plus meurtriers pour les femmes, annonce la revue britannique Nature.
Le gain de survie obtenu par les progrès thérapeutiques dans le cancer du sein (KS) au cours des dernières décennies a augmenté la probabilité de survenue d'un autre cancer, surtout en cas de facteurs de risques (génétique,...
Toutes les femmes ne sont pas confrontées à un risque équivalent de cancer du sein. Les cancers du sein sont des processus multifactoriels complexes, parmi lesquels se trouvent des « facteurs » génétiques. Les études de cohortes...
Jusqu'à récemment, on disait qu'une femme porteuse des gènes BRCA1 ou BRCA2 a 80% de chances d'avoir le cancer du sein avant l'âge de 70 ans. Au point où plusieurs femmes, après un test génétique, décident de se faire enlever les seins, dans l'espoir que cela élimine tout risque.
Est-il avantageux ou non pour le bien-être psychologique d'une femme qui a dans ses antécédents familiaux des cas de cancer du sein (KS), de subir des tests génétiques et de connaître les risques qu'elle encourt ?
Si 5 à...