Deux variantes génétiques mises au jour par une équipe européenne multiplient par sept le risque de calvitie, qui affecte 40% des hommes et des femmes, selon deux études indépendantes publiées dimanche en ligne dans la revue britannique Nature genetics
Des chercheurs de l'Université McGill (Canada), du King?s College de Londres (Grande-Bretagne) et de la société GlaxoSmithKline Inc. ont identifié deux variantes génétiques qui, lorsqu'elles sont présentes ensemble chez les hommes de race blanche, multiplient jusqu'à sept fois le risque de calvitie androgénétique de type masculin, aussi appelée calvitie hippocratique.
Même si Fabien Barthez et Bruce Willis ont positivement changé l'image des chauves dans notre société, la majeure partie des personnes concernées par la calvitie n?ont qu'un rêve? Retrouver leur belle chevelure d'antan.
Pourtant, selon cette étude parue fin 2008, « environ le tiers des hommes seront touchés par la calvitie androgénétique avant l'âge de 45 ans. Or, ce phénomène capillaire entraîne des répercussions sociales et économiques considérables : les dépenses attribuables aux greffes de cheveux ont atteint plus de 115 millions de dollars en 2007 aux États-Unis seulement, tandis que les revenus mondiaux tirés de la vente de traitements médicaux visant à combattre la calvitie androgénétique ont récemment dépassé les 405 millions de dollars ».
Et de préciser : « la calvitie androgénétique est la forme la plus répandue d'alopécie. Elle se caractérise par une perte de cheveux qui évolue de façon prévisible ; les tempes commencent d'abord par se dégarnir, puis la lisière des cheveux s'éloigne graduellement du front jusqu'à prendre la for...
Une équipe internationale de chercheurs a découvert pour la première fois deux variations génétiques liées à un accroissement du risque d'attaque cérébrale, ouvrant la voie à des traitements qui ciblent les mécanismes moléculaires de cette pathologie, selon une étude publiée mercredi.
Une équipe internationale de chercheurs a séquencé les génomes de deux variétés d'algues vertes microscopiques mettant en évidence les gènes qui leurs permettent de capturer le gaz carbonique (CO2) et de maintenir l'équilibre chimique des océans, selon une étude parue jeudi.
Une équipe internationale de chercheurs a séquencé les génomes de deux variétés d'algues vertes microscopiques mettant en évidence les gènes qui leurs permettent de capturer le gaz carbonique (CO2) et de maintenir l'équilibre chimique des océans, selon une étude parue jeudi.
Deux nouveaux gènes impliqués dans l'apparition de la sclérose en plaques sont découverts, ce qui aidera les chercheurs à mieux comprendre les mécanismes de la maladie.
Des chercheurs de l'Université de Bonn et de celle d'Heidelberg ont mis en évidence la relation entre des gènes et la dépendance à la nicotine. Ce type de dépendance est (...)
Qu’est-ce que la calvitie masculine (calvitie masculine typique/alopécie androgénique)?
La calvitie masculine est le type de perte de cheveux le plus répandu. Elle est causée essentiellement par une sensibilité de certaines parties du cuir chevelu aux hormones sexuelles masculines (androgènes), et ce, se transmet de génération en génération.
Pendant longtemps, on considérait la calvitie masculine comme [...]
Une équipe internationale de chercheurs a identifié 21 nouveaux facteurs génétiques de risque pour la (...)
Nous ne sommes pas tous égaux en matière de chute de cheveux. Des chercheurs de l'Université McGill et du King's College de Londres ont identifié deux gènes qui interviennent dans l'alopécie androgénique chez les Caucasiens. ...
On a longtemps suspecté l'existence de caractères héréditaires prédisposant à la calvitie des hommes, mais on ignorait jusqu'ici quels gènes étaient impliqués. Une étude des universités de Bonn et de Düsseldorf (Allemagne) montre qu'au moins une partie de ces caractères sont hérités de la mère, via le chromosome X. ...
Un taux élevé de lipoprotéine Lp(a) est connu pour être un facteur de risque cardiovasculaire. Mais les déterminants génétiques de la Lp(a) et leur implication dans le risque coronarien ne sont encore que partiellement compris....
Deux nouveaux gènes susceptibles d'accroître le risque de souffrir de la sclérose en plaques, maladie inflammatoire touchant la moelle épinière et le cerveau, ont été découverts, selon des études scientifiques publiées dimanche.
Le docteur Alessandro Terrinoni du laboratoire de biochimie IDI-IRCCS de l'Université Tor Vergata de Rome, en collaboration avec une équipe chinoise et écossaise, a publié sur la revue Nature Genetics, les résultats d'un travail scientifique qui a ...
Deux nouveaux gènes susceptibles d'accroître le risque de souffrir de la sclérose en plaques, maladie inflammatoire touchant la moelle épinière et le cerveau, ont été découverts, selon des études scientifiques publiées dimanche. Chez les personnes souffrant de SEP, pour des raisons encore mal comprises, le système immunitaire attaque la gaine de myéline qui entoure les fibres nerveuses et joue un rôle d'isolant comme la gaine de fils électriques. Cette destruction entraîne des sortes de courts circuits qui entravent le passage de l'influx nerveux, causant notamment des troubles de la motricité, de l'équilibre, de la parole ou de la vue. Plusieurs gènes impliqués dans la survenue de la maladie avaient déjà été identifiés dans les années 70 sur le chromosome 6. Les nouveaux gènes identifiés contrôlent la fabrication de récepteurs à interleukine (l'interleukine 7 ou IL7 et l'IL2), des protéines qui servent d'antennes à la surface des cellules immunitaires. De minimes variations de la séquence de ces gènes entraîneraient un risque accru de 20 à 30 pc de souffrir d'une sclérose en plaques. (NLE)