Des variations génétiques en particulier sur le chromosome 9p21 sont associées à un risque accru de développer des cancers du cerveau et de la peau, selon cinq études publiées dimanche dans la revue Nature Genetics.
Plusieurs variations génétiques prédisposant aux attaques cardiaques ont été identifiées par cinq équipes scientifiques différentes, dont les résultats sont publiés simultanément dimanche dans la revue Nature Genetics.
Trois groupes indépendants de chercheurs ont découvert de nouvelles variations génétiques associées à une susceptibilité accrue au cancer de la prostate, selon des travaux publiés dimanche en ligne dans Nature Genetics.
Des variations génétiques ont été associées à un risque accru de certaines tumeurs malignes de la peau ou du cerveau.
Deux variantes génétiques mises au jour par une équipe européenne multiplient par sept le risque de calvitie, qui affecte 40% des hommes et des femmes, selon deux études indépendantes publiées dimanche en ligne dans la revue britannique Nature genetics
Une équipe internationale de chercheurs a découvert pour la première fois deux variations génétiques liées à un accroissement du risque d'attaque cérébrale, ouvrant la voie à des traitements qui ciblent les mécanismes moléculaires de cette pathologie, selon une étude publiée mercredi.
Des variations génétiques très rares multiplieraient par cent les risques d'autisme chez les enfants, selon une étude parue jeudi dans la revue américaine The New England Journal of Medicine.
Des variations génétiques dans une même région chromosomique sont liées à un risque de cancer du poumon multiplié de cinq à sept fois chez des personnes avec des antécédents familiaux de cette maladie qu'elles fument ou non, selon une étude parue mardi aux États-Unis.
Des chercheurs ont découvert dix mutations génétiques courantes qui augmentent le risque de mort par arrêt cardiaque soudain en altérant subtilement les battements du coeur, selon deux études publiées dimanche dans la revue spécialisée Nature Genetics.
Des chercheurs américains et suédois ont découvert plusieurs variations génétiques augmentant nettement les prédispositions héréditaires au cancer de la prostate, selon des travaux publiés mercredi aux États-Unis.
Des chercheurs européens ont découvert les causes génétiques de l\'asthme chez les enfants. Michael Kabesch de l\'Université Louis-et-Maximilien à Munich et son équipe ont constaté que des variations génétiques dans une partie du chromosome 17 augmentaient de 50 pc le risque d\'asthme. Environ 40 pc de la population disposent de cette variante génétique du chromosome 17. Cette variante contribue à la formation de la protéine ORMDL3, selon les chercheurs. Les globules de jeunes patients atteints d\'asthme contiennent plus d\'ORMDL3 que les globules d\'enfants non asthmatiques. La fonction précise de la protéine n\'est pas encore connue. \Nous avons découvert que l\'ORMDL3 contribuait à l\'apparition de l\'asthme\, explique Michael Kabesch. \C\'est un pas important vers une meilleure compréhension de cette maladie, qui à terme permettra la mise au point de thérapies plus efficaces\, ajoute-t-il. (NLE)
Toutes les femmes ne sont pas confrontées à un risque équivalent de cancer du sein. Les cancers du sein sont des processus multifactoriels complexes, parmi lesquels se trouvent des « facteurs » génétiques. Les études de cohortes...
Une molécule vient d'être découverte, qui semble signaler la plus grande probabilité de développer des métastases après l'apparition d'une tumeur du sein. Cette protéine HP1 alpha, mise en évidence à l'Institut Curie, apparaît comme un bon marqueur qu'il suffirait de doser pour affiner le pronostic et ce, probablement, pour d'autres cancers.
Pourquoi le même genre de tumeur ne provoque-t-il pas les mêmes effets chez tous les patients ? Premières soupçonnées, les variations génétiques d'...
Les caractéristiques génétiques des tumeurs responsables des cancers du sein et du côlon varient fortement selon les patients.
Les caractéristiques génétiques des tumeurs responsables des cancers du sein et du côlon varient fortement d'un patient à l'autre, ce qui pourrait nécessiter une adaptation des traitements à chaque individu, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.Après avoir analysé plus de 18.000 gènes, des chercheurs de l'université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland, est) en ont identifié 300 directement liés au cancer colorectal ou au cancer du sein, dont seuls quelques-uns présentaient des mutations génétiques fréquemment observées.La plupart des mutations génétiques observées apparaît au contraire de manière peu fréquente et varie considérablement d'un individu à un autre.Les généticiens travaillant dans la recherche sur le cancer ont longtemps pensé qu'ils découvriraient un petit nombre de gènes responsables des différentes formes de cette maladie, mais il semblerait que les choses soient beaucoup plus complexes et que des groupes de gènes, plutôt que des gènes isolés, soient en cause.Cela rend le traitement de ces cancers plus compliqué, estime Victor Velculescu, professeur d'oncologie au Kimmel Cancer Center de l'université Johns Hopkins.Cela signifie que nous allons devoir tailler des traitements sur mesure pour les individus, afin de cibler les caractéristiques génétiques spécifiques de leurs cancers. Cela laisse penser qu'à l'avenir, le traitement du cancer sera personnalisé, explique-t-il jugeant que les médicaments que nous utilisons actuellement sont trop grossie...