Que les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde (PR) soient à risque cardio-vasculaire n?est plus un scoop car ce fait est à présent bien établi. Cependant, outre qu'un traitement précoce et agressif réduit nettement...
La London Medical School s'est penchée sur le rythme cardiaque des hommes dont le niveau d'éducation est bas, ou dont le travail est sous qualifié. Ils ont peut être trouvé pourquoi dans cette population le risque cardio-vasculaire est plus élevé. ...
Contrairement aux idées reçues, être mince n'est pas un rempart contre une maladie cardio-vasculaire, et être gros ne veut pas forcément dire être candidat à l'infarctus.
Ménopause: le traitement hormonal augmenterait le risque d'AVC
01/08/2007 - La discontinuation des statines fut associée avec un risque augmenté de la combinaison infarctus du myocarde et décès de cause cardio-vasculaire
03/05/2007 - La pilule Diane est apparue être supérieure à la metformine pour contrôler l'hyper androgénie et pour restaurer la régularité menstruelle chez les patientes souffrant d' OMPK et n'a pas été associée avec une aggravation du risque métabolique cardio vasculaire de ces femmes
04/06/2007 - Si la supplémentation de la nourriture en acide folique peut réduire le risque d'accident vasculaire cérébral chez certaines personnes, elle n'est cependant pas souhaitable pour tout le monde et pourrait augmenter le risque de maladies cardio-vasculaires chez certaines autres personnes
04/06/2007 - Si la supplémentation de la nourriture en acide folique peut réduire le risque d'accident vasculaire cérébral chez certaines personnes, elle n'est cependant pas souhaitable pour tout le monde et pourrait augmenter le risque de maladies cardio-vasculaires chez certaines autres personnes
La quantité d'exercice pourrait être plus importante que son intensité en termes de santé cardio-vasculaire, selon des chercheurs du Duke University Medical Center.
La découverte de la valeur de...
13/03/2008 - Lors des essais, le risque de décès cardio-vasculaire, plus le risque d'infarctus non suivi de décès plus le risque d'accidents vasculaires non suivis de décès fut diminué de 21 %.
Les femmes arrêtant le traitement avec de l'oestrogène et un progestatif, qu'elles suivaient après leur ménopause, continueraient à avoir un risque nettement accru de cancer, selon la première étude étendue conduite aux Etats-Unis publiée mardi.
En revanche, le plus grand risque cardio-vasculaire lié à ces hormones chez les femmes ménopausées disparaissent apparemment après l'arrêt de ce...
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EN 2002, l'étude Women Health Initiative (WHI) portant sur 16 000 femmes jetait un certain discrédit sur le traitement hormonal de la ménopause (THS) en mettant en évidence un risque accru de cancer du sein, de troubles cardio-vasculaires et de thrombose veineuse chez les femmes traitées...
La densité osseuse décroît rapidement, immédiatement après le début de la ménopause (du fait de la réduction des oestrogènes) et son altération accroît fortement le risque de fracture de la hanche. Toutefois l'âge de début de la ménopause est très variable. Est-ce qu'un début de ménopause précoce augmente le risque de survenue d'une fracture de [...]
Consommer trop de sel entraînerait une hausse des risques de survenue d'accident vasculaire cérébral et de maladie cardio-vasculaire, selon une étude publiée le 25 novembre (...)
A l'occasion de la journée mondiale de la Ménopause qui aura lieu jeudi, la Société belge de la ménopause a tenu à annoncer mercredi qu'un test de ménopause est disponible pour la première fois en Belgique dans les pharmacies. Ce premier test de ménopause, le Promensil, va permettre aux femmes de pouvoir s'assurer qu'elles entrent bien en ménopause. Disponible en pharmacie au même titre que les tests de grossesse, ce test urinaire mesure le taux de l'hormone FSH qui devient très important à l'approche de la ménopause. En 2002, diverses grandes études accusaient le traitement hormonal visant à remplacer le manque hormonal qui s'installe à la ménopause d'augmenter le risque de cancer du sein et d'entraîner des troubles cardio-vaculaires. Au cours de cette année 2007, ces même études ont été réanalysées et montrent qu'il faut faire une distinction très claire parmi les patientes. Chez les femmes qui présentent les symptômes de la ménopause et qui ont moins de 60 ans, le traitement hormonal ne présente aucun danger. Utilisé dans ces conditions, il diminue le risque d'infarctus et la mortalité globale, a expliqué Serge Rozenberg, Professeur en gynécologie à l'ULB.