Par rapport aux non-fumeurs, les fumeurs avaient 5,5 fois plus de risques de cancer de la vessie dans la période 2002-2004, contre respectivement 4,2 et...
Les gros consommateurs d'eau ont moins de risque de cancer de la vessie
Les cancers urothéliaux des voies excrétrices (KVE), touchant le bassinet ou l'uretère, sont rares. Le cancer de vessie (KV) semble y prédisposer, en général dans les 3 ans après le diagnostic initial. Cette situation engendre...
La consommation de brocolis, de choux ou même de navets crus réduirait significativement les risques de tumeurs pulmonaires chez les fumeurs et les ex-fumeurs, et ce, grâce à leurs qualités anticancéreuses, selon le docteur Li Tang et ses collègues du Roswell Park Cancer Institute. ...
En Uruguay, où le taux d'incidence ajusté sur l'âge du cancer de la vessie est le plus élevé d'Amérique du Sud, atteignant chez l'homme 22,6 p. 100 000, avec pour principaux facteurs de risque, le tabagisme et l'exposition...
Le tabagisme et certaines expositions professionnelles étant des facteurs de risque reconnus de cancer de la vessie, générant des cancérogènes (amines aromatiques, par exemple) susceptibles de former des adduits à l'ADN dans...
Le cancer de la vessie (KV) représente 5 % des cancers et suppose, dans sa forme urothéliale la plus courante, une surveillance cystoscopique très régulière (avec éventuellement résections itératives et instillations ) qui est...
Consommer de grandes quantités de viandes a été associé, dans certaines études, à un risque accru de divers cancers, dont le cancer de la vessie. La formation, lors de la cuisson à haute température, d'hydrocarbures aromatiques...
Les vertus anti-cancéreuses du brocoli, surtout cru, et d'autres crucifères comme le chou paraissent agir sur les fumeurs et ex-fumeurs pour réduire le risque de cancer du poumon, selon une étude publiée mardi.
On vient d'identifier deux nouveaux gènes qui sont responsables d'accroître les risques qu'un style de vie malsain donne plus facilement un cancer. Cette découverte expliquerait donc pourquoi certains grands fumeurs ou buveurs d'alcool arrivent à un âge avancé tandis que d'autres sont parfois rapidement vaincus par un cancer. ...
Des chercheurs néo-zélandais ont annoncé mardi avoir mis au point le premier test mondial, permettant de mesurer le risque de développer un cancer du poumon chez les fumeurs ou les anciens fumeurs.
Fumeurs et non-fumeurs ont tout intérêt à manger de la salade verte plus de 4 fois par semaine et de faire du jardinage plus d'une fois par semaine. Cela réduit significativement le risque de cancer du poumon. ...
Depuis de nombreuses années la science combat ce fléau, mais à l'heure actuelle où en est-on dans cette lutte ? Plusieurs choses ressortent de l'actualité : des trouvailles dans la lutte du cancer des fumeurs, la diminution des risques de cancer chez les femmes, ou encore un vaccin contre le cancer de la peau ! ...
Selon une cohorte d'experts suédois du Karolinska Institute de Stockholm, la consommation de produits laitiers, notamment de yogourt et de lait, pourrait diminuer les dangers associés à l'apparition de cancers de la vessie. ...
La société de bio-technologies OncoMethylome Sciences a dévoilé ce mercredi les brillants résultats de deux tests cliniques de dépistage des cancers du colon et de la vessie qu'elle a mis au point. Dans le cas du cancer de la vessie, il s'agit d'un test urinaire et dans le cas du cancer colorectal, d'un test sur les selles. Un test sanguin est également en développement pour ce dernier. Dans les deux cas, il s'agit de tests non invasifs et donc beaucoup moins lourds pour le patient, mais aussi moins coûteux, qu'une côlonoscopie ou une cystoscopie (examen de la vessie via un endoscope introduit dans l'urètre), explique Philip Devine, directeur financier de OncoMethylome. Le processus développé par la société est celui des marqueurs de méthylation. Pour faire simple, grâce à une technologie de pointe, les tests développés détectent des gènes qui ont été modifiés par la présence du cancer (c'est la méthylation). Les marqueurs développés par la société liégeoise permettent de détecter les cancers de la vessie et du colon avec une précision et une sécurité nettement plus grande qu'auparavant. Lors des tests cliniques dans le cas du cancer du colon, le test détectait correctement 86 pc des cancers et identifiait correctement comme non-cancéreux 96 pc des échantillons prélevés chez des sujets sains, reprend P. Devine. Les chiffres sont comparables dans le cas du cancer de la vessie.