Une étude publiée sur la revue Nature Medicine présente de nouvelles stratégies pour protéger les ovaires des effets collatéraux de la thérapie contre le cancer. En effet, les armes le plus communément utilisées pour lutter contre le cancer sont la r ...
Une nouvelle étude épidémiologique a trouvé que les femmes obèses (et n'ayant jamais utilisé de thérapie hormonale) ont bien un risque accru de développer un cancer des ovaires par rapport aux femmes de poids normal. ...
Une étude réalisée par des chercheurs américains révèle pourquoi certains patients souffrant de cancers de l'ovaire deviennent au fil du traitement résistants à la chimiothérapie à base de platine, selon la revue britannique Nature.
Une forte consommation de café pourrait diminuer le risque de cancer du sein chez les femmes porteuses d'une mutation du gène BRCA1, selon une étude publiée dans la revue « International Journal of Cancer ».
Une étude détaille les mécanismes qui permettent à la caféine de faire diminuer le cancer de la peau. Menée par le Dr Paul Nghiem, professeur de dermatologie à l'université de Washington à Seattle, elle est publiée dans l'édition en ligne du Journal of investigative dermatology, dès le 26 février. Les préparations à base de caféine pourraient être utilisées pour lutter contre le cancer de la peau. (suite...)
Une récente étude en vient à la conclusion que les femmes qui prennent des contraceptifs oraux diminuent leur risque de développer un cancer des ovaires et que cet effet protecteur durerait des dizaines d'années après qu'elles aient arrêté des les prendre.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes de moins de 40 ans, et donc en âge de procréer. Si lors d'un cancer des testicules ou d'un cancer des ovaires ou de l'utérus, on pense systématiquement à la baisse de la fertilité, rien n'est proposé lors d'un cancer du sein, afin de préserver la fonction ovarienne. Or les traitements comme la chimiothérapie peuvent induire une aménhorrée (absence de règles) transitoire ou définitive ou pire une ménopause précoce irréversible. (...)
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L'obésité serait associée à une diminution de la survie liée à un cancer ovarien, une influence qui serait due aux effets de l'obésité sur la biologie de la tumeur, indépendamment des comorbidités, suggère une étude américaine publiée dans la revue « Cancer ».
Selon une nouvelle recherche de l'EPIC (European Prospective Investigation of Cancer - Étude prospective européenne sur le cancer) publiée dans la revue International Journal of Cancer, la consommation quotidienne d'un grand verre de vin ou de bière augmente le risque de développer un cancer intestinal de 10 %.
Selon une étude publiée par The Lancet, la pilule contraceptive a permis de prévenir 100.000 morts par cancer des ovaires et 200.000 cas dans le monde depuis qu'elle existe. L'étude ne cache pas que si la pilule a un effet « protecteur » vis-à-vis du cancer des ovaires, elle accroît le risque de cancer du sein et du col de l'utérus, et elle a d'importantes contre-indications. Mais peu importe, l'étude porte sur le cancer de l'ovaire, et il faut un « plus large accès » à ce « puissant agent préventif du cancer ». Car un recours généralisé à la pilule réduirait les cas de cancer de l'ovule de 12 à 8 pour mille en 75 ans dans les pays riches, et la mortalité de 7 à 5 pour mille. L'étude omet de dire qu'un vrai recours généralisé à la pilule aboutirait à coup sûr à la fin de tout cancer : par extinction de l'espèce humaine.
Des milliers de femmes atteintes de cancer du sein pourraient échapper à la chimiothérapie ou recevoir des formes plus légères de ce traitement sans pour autant réduire leurs chances de combattre la maladie, selon de nouvelles études américaines.
A la fin des années 1980, une étude montrait qu’une bonne thérapie de groupe permettait aux femmes sujettes au cancer du sein d’avoir une espérance de vie plus longue. Une nouvelle étude récente tempère largement ce résultat. ...
Un médicament contre le cancer, le Glivec, pourrait se révéler utile dans le traitement de la forme la plus courante des attaques cérébrales, d'après des travaux publiés dimanche en ligne par la revue Nature Medicine.
Des chercheurs ont identifié une variation génétique qui permettrait de pronostiquer les chances de survie de femmes atteintes de cancer, en particulier après un traitement comprenant une chimiothérapie courante, selon la revue spécialisée Nature Genetics.
Les différents sous-types de cancer des ovaires sont en fait des maladies distinctes, indique une étude dont les auteurs estiment qu'en les mettant dans le même sac, on nuit à la recherche de traitements plus efficaces pour cette forme de cancer meurtrière.