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Gazoduc Baltique : GDF associé à GAZPROM ?
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Selon le géant russe du gaz Gazprom, une entrée de Gaz de France dans le consortium russo-allemand chargé de construire un gazoduc sous la Baltique serait possible, dans la mesure où le nouveau partenaire serait doté des atouts stratégiquement importants....
Gazprom se veut catégorique : non, le gazier russe n'a pas « utilisé » de crédits bancaires allemands pour amorcer la construction du fameux gazoduc russo-allemand sous la mer Baltique. Le groupe a toutefois ...
Gazprom envisageait de construire une usine de gaz naturel liquéfié (GNL) sur les rives de la Mer Baltique, dans la région de Saint Petersbourg. Le canadien Petro-Canada devait participer au projet et construire un terminal de regazéification au Québec. Des discussions allaient bon train avec ENI et BP sur le sujet. Mais voila, il a fallu arbitrer entre les projets de gazoduc Nordstream et d'exploration Shtokman qui doit lui aussi produire du GNL à terme. Le projet de 3.5 milliards...
Le numéro un mondial de la chimie, l'allemand BASF, et le géant russe Gazprom ont signé, lundi à Hanovre, des accords prévoyant l'exploitation commune d'un gros gisement de gaz en Sibérie et la construction à l'automne d'un gazoduc via la Baltique vers l'Europe.
TALLINN, 20 juin - RIA Novosti. Selon le commandant des forces estoniennes de défense, Antsa Laaneotsa, la participation possible de la Flotte russe de la Baltique à la construction du Gazoduc Nord Stream (gazoduc nord-européen qui doit relier la Russie à l'Allemagne sous la Baltique) présenterait une menace pour l'Estonie.
Ce n'est pas tout à fait une surprise ... alors que la guerre des pipelines fait rage à travers le monde, le géant gazier russe Gazprom et le groupe pétrolier français Total sont intéressés à participer au projet du gazoduc...
Les compagnies italienne ENI et russe Gazprom ont annoncé samedi la signature d'un accord pour la construction d'un gazoduc de 900 kilomètres entre la Russie et l'Europe. Le gazoduc South Stream traversera la mer Noire jusqu'en Bulgarie ou il se divisera en deux branches, l'une vers l'Autriche et l'autre vers la Grèce puis Otrante, dans le sud de l'Italie, a précisé l'administrateur délégué d'ENI, Paolo Scaroni. Trois années seront nécessaires pour construire ce gazoduc, une fois obtenues toutes les autorisations, a-t-il ajouté. (NLE)
La Finlande s'inquiète de possibles conséquences pour ses zones naturelles protégées du gazoduc germano-russe qui doit être construit en 2009 sous la Mer Baltique, a dit le ministre finlandais de l'Environnement, Kimmo Tiilikainenn, au journal allemand Tagesspiegel de dimanche.Nous espérons que le tracé dans les eaux russes va être modifié. Il est très proche de zones naturelles protégées finlandaises, a dit le ministre, qui s'inquiète en particulier que les travaux pourraient contribuer à la dissémination, en direction des côtes de son pays, du cadmium accumulé sur les fonds marins de l'île russe de Gogland, à 35 km des côtes finlandaises.D'autres pays riverains de ce projet, notamment la Pologne, la Suède et l'Estonie, ont déjà exprimé des réserves quant à son tracé, mais le groupe gazier russe Gazprom s'est dit vendredi certain d'obtenir malgré tout leur feu vert.Il ne peut y avoir de facteurs justifiant le refus d'autorisation, a déclaré le vice-président du géant gazier, Alexandre Medvedev.Il a promis que les objets suspects seraient découverts et enlevés du trajet du gazoduc. Tous les risques technologiques seront limités et aplanis.Dans sa forme actuelle, le gazoduc de Nord Stream, contrôlé à 51% par le russe Gazprom et à 24,5% chacun par les allemands BASF et EON, doit relier sur 1.198 kms Vyborg en Russie à Greifswald en Allemagne.
MALMO (Suède), 13 juin - RIA Novosti. Les participants au Conseil des ministres des Affaires étrangères des pays de la mer Baltique qui vient de prendre fin à Malmö, en Suède, se sont penchés sur la question du chantier du Gazoduc nord-européen, a annoncé le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
Le projet de gazoduc North Stream,(Gazprom (51%), BASF-Wintershall (24,5%), E-On (24,5%), managé par l'ancien chancelier Schröder), qui doit alimenter l'Allemagne en gaz naturel russe en passant sous la Mer Baltique n'a pas que des supporters en Europe. La Pologne, l'Estonie, la Lithuanie, la Finlande sont profondément critiques sur ce projet. La Commission des Pétitions (!) du Parlement Européen vient d'apporter de l'eau au moulin des opposants au projet. Il a abordé les problèmes de sécurité posé par les 80000 tonnes...
MOSCOU, 3 octobre - RIA Novosti. L'Estonie estime que le projet de Gazoduc nord-européen (GNE) est dangereux pour le système écologique de la Baltique et revêt un caractère essentiellement politique, rapporte l'agence Reuters, citant une déclaration du chef de la diplomatie estonienne Urmas Paet.
MOSCOU, 26 juin - RIA Novosti. L'accord entre Gazprom et l'italien Eni sur la construction du gazoduc South Stream qui doit déboucher sur l'UE par le fond de la mer Noire menace le projet de gazoduc Nabucco reliant les gisements caspiens à l'Europe via la Turquie, fait savoir l'agence Reuters, se référant à une source au ministère turc de l'Energie.
Enjeu stratégique. Le projet russo-allemand de tube sous la mer Baltique suscite la colère de plusieurs pays voisins, Pologne en tête. Mais il n'est qu'un élément d'un grand jeu énergétique dans lequel le géant russe Gazprom sème la division dans l'UE.
Gaz de France (GDF), qui vient d'être écarté du projet de gazoduc Nabucco, a menacé hier à demi-mot de rejoindre South Stream, le projet rival porté par le géant russe Gazprom et l'italien ENI. Une manière de faire pression sur ses partenaires européens, pour être finalement associé à la...
L'ex-Chancellier allemand, qui vient d'être bombardé à la tête du conseil de surveillance du consortium en charge du gazoduc russo-allemand sous la Baltique, représentera notamment les intérêts du groupe gazier Gazprom. Et donc servira les intérêts énergétiques de Vladimir Poutine.
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