Les salariés du quotidien économique rencontrent cet après-midi le P-DG de Fimalac, qui fait une offre de rachat concurrente à LVMH. Ils demandent également un rendez-vous au P-DG de Pearson, dans une lettre ouverte.
Le groupe Fimalac a créé la surprise jeudi en surenchérissant sur LVMH pour racheter Les Echos, une offre saluée comme idéale par les salariés, bien que le propriétaire britannique du quotidien, Pearson, ait décidé de poursuivre ses négociations avec le géant du luxe.
L'offre de Fimalac a été approuvée unanimement par la rédaction du quotidien économique, hostile à celle de LVMH, qui détient La Tribune
Le groupe de M. Ladreit de Lacharrière a surenchéri sur l'offre de LVMH, qui reste en négociation exclusive avec Pearson.
Les rédactions du groupe Les Echos (Les Echos, Enjeux-Les Echos, etc), consultées mercredi par leurs directeurs, ont confirmé à 93,75% leur soutien à l'offre de Fimalac, en concurrence avec LVMH pour le rachat du quotidien, ont annoncé les directeurs des rédactions.
Le groupe britannique Pearson a annoncé lundi la vente des Echos au géant du luxe LVMH pour 240 millions d'euros, au terme de quatre mois de négociations exclusives et malgré la vive opposition des salariés, qui ont décidé d'empêcher la parution du journal mardi.
Les journalistes du quotidien économique, qui refusent le rachat par le groupe de luxe LVMH, soutiennent sans réserve l'offre déposée par le groupe français de services aux entreprises.
Presse. Les salariés du quotidien Les Echos ont décidé de ne pas faire paraître le journal mardi 6 novembre. Ils protestent contre l'annonce, lundi par Pearson, de la vente du groupe à LVMH. Montant : 240 millions d'euros.
Les Echos LVMH et Pearson sont parvenus à un accord sur l'indépendance éditoriale et l'emploi du quotidien. Les salariés estiment que ces avancées ne règlent pas la question du conflit d'intérêt et s'opposent toujours au rachat.
Journaliste aux "Echos" et délégué syndical du Syndicat national des journalistes, Antoine Boudet revient sur l'offre surprise du groupe Fimalac adressée jeudi 12 juillet à Pearson pour racheter "Les Echos".
Les salariés des Echos ont estimé jeudi avoir reçu des signaux positifs de leur propriétaire, le groupe britannique Pearson, auquel ils avaient donné jusqu'à ce jour pour ouvrir des négociations visant à garantir leur indépendance éditoriale en cas de rachat par LVMH.
Le holding de Marc Ladreit de Lacharrière offre 245 millions d'euros alors que LVMH est toujours en négociations exclusives.
Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac) propose à Pearson 245 millions d'euros pour le groupe Les Echos. Soit 5 de plus que Bernard Arnault. Mais celui-ci dispose d'une clause d'exclusivité. Les journalistes du quotidien économique ont approuvé à l'unanimité moins 1 voix ce nouveau projet.
Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac) propose à Pearson 245 millions d'euros pour le groupe Les Echos. Soit 5 de plus que Bernard Arnault. Mais celui-ci dispose d'une clause d'exclusivité. Les journalistes du quotidien économique ont approuvé à l'unanimité moins 1 voix ce nouveau projet.
MARC Ladreit de Lacharrière, président du holding Fimalac, revient dans la danse pour le rachat des Échos ...