Moscou - La Russie ne va pas renoncer aux bombes à sous-munitions (BASM), malgré la signature mercredi d'un traité interdisant ces armes. Le ministère des affaires étrangères a souligné vendredi leur « rôle important pour les intérêts défensifs » du pays. « Les bombes à sous-munitions sont des armes légales qui ne sont pas interdites par le droit international humanitaire et jouent un rôle important pour les intérêts défensifs de la Russie. Nous ne pouvons pas y renoncer », a affirmé le (...)
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Actualité
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Le ministère britannique de la Défense a annoncé vendredi avoir désigné comme compétiteur préféré le consortium formé par le groupe français d'électronique de défense Thales et l'américain Boeing pour la supervision du plus important programme militaire du pays.Le consortium, formé des filiales britanniques des deux groupes, a été sélectionné comme l'unique candidat restant pour agir en tant qu'intégrateur SOSI (system of systems integrator) pour le programme Future Rapid Effect System (FRES), qui porte sur la production des trois milliers de véhicules blindés de moyen tonnage.Le SOSI est un système destiné à faire en sorte que les trois milliers de blindés de types différents puissent opérer et communiquer avec des satellites, des avions de chasse et des navires de combat.Le ministère britannique n'a pas révélé le montant du contrat.Un appel d'offres séparé concerne le programme FRES, le plus important contrat militaire du Royaume-Uni, d'un coût de 60 milliards de livres (84 milliards d'euros).La livraison de ces véhicules doit intervenir à partir de 2012.Le consortiume Boeing-Thales a été préféré à l'italien Finmeccanica qui s'était notamment allié aux britanniques BAE Systems et au missilier européen MBDA.Le programme FRES permettra de doter l'armée de terre de véhicules blindés de moyen tonnage offrant des capacités de déploiement rapide dans le cadre d'opérations info-centrées.Il s'agit d'un excellente nouvelle, a déclaré Alex Dorrian, directeur général de Thales UK. Tha...
Trente milliards d'euros environ. Ce serait le montant astronomique du contrat décroché par BAE Systems auprès de l'Arabie Saoudite affirme le Times. A Londres, l'action du groupe britannique de défense grimpait aussitôt ...
Trente milliards d'euros environ. Ce serait le montant astronomique du contrat décroché par BAE Systems auprès de l'Arabie Saoudite affirme le Times. A Londres, l'action du groupe britannique de défense grimpait aussitôt ...
BAE Systems aurait, pendant au moins 10 ans, versé à un prince saoudien des sommes équivalentes à 1 milliard de livres pour l'obtention d'un important contrat auprès du royaume. Démenti du groupe.
Mardi, BAE Systems, le groupe de défense britannique, a annoncé qu'il faisait l'objet d'une enquête anti-corruption, par le Ministère américain de la Justice.
(Cercle Finance) - La société d'assurance Axa annonce le retrait de ses investissements des entreprises productrices de bombes à sous-munitions (BASM). ' Cette...
Plus de 100 pays, réunis à Dublin, sont parvenus à un accord sur un traité qui interdirait les modèles actuels de bombes à sous-munitions et exigerait la destruction des stocks dans un délai de huit ans.
La SSII vient de remporter un contrat de 5 ans avec le ministère de la défense britannique (MoD) pour un montant de 17 millio...
Quelque 130 pays participent à partir de mercredi à une conférence à Vienne visant à interdire, dès fin 2008, l'utilisation mondiale des bombes à sous-munitions. Très meurtrières, elles font 98% de victimes civiles, surtout des enfants.© TSR, 2007
Graphique interactif sur les bombes à sous-munitions alors que plus d'une centaine de pays se réunissent le 24 mai à Lima en vue de définir un traité d'interdiction de cette arme dont quelque 440 millions sont dispersées dans le monde, menaçant les populations civiles.
Le monde est un endroit plus sûr aujourd'hui. C'est l'accord humanitaire le plus important de la dernière décennie, a déclaré à l'AFP Richard Moyes, coprésident de la Coalition contre les sous-munitions (CMC), organisation parapluie regroupant près de 300 ONG. A l'origine du processus d'interdiction, la Norvège a ouvert le bal et signé, la première, l'accord qui bannit la production, l'utilisation, le stockage et le commerce de ces armes, et qui, fait novateur, oblige les signataires à venir en aide aux pays et personnes victimes des BASM.
Plus de 100 pays, réunis à Dublin, sont parvenus à un accord sur un traité qui interdirait les modèles actuels de bombes à sous-munitions et exigerait la destruction des stocks dans un délai de huit ans.
Selon de nouvelles évaluations de sécurité nucléaire publiées par le ministère britannique de la défense, l'ascenseur à sous-marin de la base de Faslane est le risque le plus important en ce qui concerne la sécurité nucléaire.
Le processus d'Oslo, qui vise à accélérer l'adoption
d'un traité interdisant les bombes à sous-munitions, prend de
l'ampleur. Le 22 février, à Wellington, en
Nouvelle-Zélande, 82 pays se sont engagés en ce sens. Plusieurs
Etats, dont la France, font de la résistance.