Le gouvernement a invité mercredi l'Arcep à se pencher sur le dossier des opérateurs mobiles virtuels après un avis du Conseil de la Concurrence favorable à un allègement des contraintes contractuelles qui pèsent sur les MVNO dans leur relation avec l'opérateur hôte.
Le Conseil de la concurrence juge que les opérateurs mobiles virtuels ne sont pas encore en mesure de concurrencer Orange, SFR et Bouygues. Les trois opérateurs font tout pour retenir leurs abonnés. Les tarifs de gros des MVNO devraient être régulés.
Trop de contraintes pèsent sur les opérateurs virtuels, qui ne peuvent exercer une «pression concurrentielle» dans un marché verrouillé. Comme l'ART, le Conseil est favorable à une régulation garantissant leur développement.
Saisi par le gouvernement, le Conseil de la concurrence a remis mercredi une série de recommandations pour faire enfin décoller les MVNO.
Le Conseil de la Concurrence a été saisi vendredi 14 avril par le ministre de l'Economie du projet de prise de contrôle de TPS par Vivendi Universal, maison mère de Canal+, a annoncé mardi le Conseil de la Concurrence. Disposant ...
Le conseil des ministres a approuvé vendredi un projet de loi adaptant la législation en matière de concurrence. Celui-ci vise notamment à renforcer les effectifs du conseil de la concurrence et à simplifier certaines procédures comme l'avait annoncé à «La Libre» Stefaan Raes, président du Conseil.
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Le magazine professionnel Livres Hebdo en date du 9 mai (n°733) vient de rendre publique la décision (consultable sur le site http://www.conseil-concurrence.fr/user/avis.php?avis=08-D-08) du Conseil de la Concurrence concernant la plainte
Le PDG d'Altitude Telecom affirme que le Wimax décollera en 2010 en offrant aux FAI et MVNO la possibilité de proposer de nouveaux services. Il prédit que la technologie amènera plus de concurrence dans le mobile.
Le Conseil de la concurrence doit à la fois favoriser la concurrence sur le marché de la télévision payante dominé par Canal+, et la concurrence entre les opérateurs télécoms qiu ne doivent pas se battre à coup de contenus exclusifs. Pour concilier les deux intérêts, il propose de limiter le champ et la durée des exclusivités, et de favoriser une distribution des chaînes chez tous les opérateurs. [Lire la suite]
Le Conseil de la concurrence étant un organisme administratif, le contentieux des pratiques anticoncurrentielles ne relève pas de la procédure pénale.
L'autorité juge sévèrement les contrats que les opérateurs virtuels ont signé avec leurs opérateurs hôtes. Pour préserver leur position dominante, SFR et Orange leur ont imposé des conditions tarifaires et techniques ne leur permettant pas de se développer.
L'autorité juge sévèrement les contrats que les opérateurs virtuels ont signé avec leurs opérateurs hôtes. Pour préserver leur position dominante, SFR et Orange leur ont imposé des conditions tarifaires et techniques ne leur permettant pas de se développer.
L'autorité juge sévèrement les contrats que les opérateurs virtuels ont signé avec leurs opérateurs hôtes. Pour préserver leur position dominante, SFR et Orange leur ont imposé des conditions tarifaires et techniques ne leur permettant pas de se développer.
L'autorité juge sévèrement les contrats que les opérateurs virtuels ont signé avec leurs opérateurs hôtes. Pour préserver leur position dominante, SFR et Orange leur ont imposé des conditions tarifaires et techniques ne leur permettant pas de se développer.
Le Conseil de la concurrence a infligé une amende d'un montant total de 34,4 millions d'Euros...