Quatre membres du renseignement militaire russe ont été condamnés jeudi dont trois par contumace, par un tribunal militaire russe à des peines allant de neuf à 14 ans de prison pour avoir massacré six civils tchétchènes en 2002.
Le tribunal militaire de Rostov (sud) a condamné, jeudi 14 juin, quatre officiers du renseignement militaire (GROu) à des peines de 14 à 9 ans de prison pour les meurtres de six civils tchétchènes en 2002.
Quatre membres d'une unité spéciale du service de renseignement de l'armée russe (GRU) ont été condamnés le 14 juin pour avoir tué en janvier 2002 six civils tchétchènes sans armes à proximité du village de Daï, en république de Tchétchénie. Ce verdict vient s'ajouter à une liste excessivement brève de condamnations pour les graves violations des droits humains, constituant parfois des crimes de guerre ou des crimes contre l'humanité, perpétrées au cours du deuxième conflit tchétchène.
Neuf anciens SS allemands, âgés de 84 à 90 ans, ont été condamnés à perpétuité par contumace dans la nuit de vendredi à samedi par le tribunal...
Jugés devant un tribunal bosniaque pour crimes de guerre, sept Serbes bosniaques ont été condamnés à des peines allant jusqu'à 42 ans de prison pour le massacre de 8.000 Musulmans de Srebrenica en 1995.
Rome - Neuf anciens SS allemands, âgés de 84 à 90 ans, ont été condamnés à perpétuité par contumace par le tribunal militaire de Rome. Ils étaient jugés pour le massacre de 350 civils en août 1944 dans des villages de Toscane. Onze anciens nazis comparaissaient pour ces massacres. Mais l'un d'entre eux, Max Roithmeier, ex-sergent SS, est décédé au cours du procès, et un second, Walter Waage, a été acquitté par la cour. Les neuf autres ont été condamnés pour avoir « participé à (...)
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swissinfo/Radio Suisse Internationale
Trois militaires et deux civils ont été condamnés à mort lundi par un tribunal militaire de Kinshasa pour le meurtre d'un député de l'opposition, Daniel Boteti, abattu le 6 juillet, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le procureur de la cour militaire du Burundi a requis la peine de mort contre quatre militaires, dont deux officiers, accusés du massacre d'une trentaine de civils en 2006 dans un camp militaire, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
ROSTOV-SUR-LE-DON (Russie), 14 juin - RIA Novosti. Quatre officiers d'élite des forces armées russes ont été condamnés jeudi à des peines allant de 9 à 14 ans de prison pour avoir massacré en 2002 six civils dans la république russe de Tchétchénie.
La Cour européenne des droits de l'Homme a condamné le gouvernement russe à payer 143 000 euros d'indemnisation aux familles de onze civils tchétchènes tués par des soldats russes en 2000. La Cour estime dans sa décision communiquée vendredi que les procureurs russes ont implicitement reconnu le massacre de Novye Aldi en ne présentant pas au cours du procès les soldats incriminés. Au cours de l'opération militaire du 5 février 2000 à Novye Aldi, petit village proche de Grozny, les forces (...)
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Le procureur général de Djibouti et le chef des services secrets
djiboutiens ont été condamnés jeudi par le tribunal
correctionnel de Versailles pour subornation de témoins.
Le procès de 24 soldats burundais, jugés pour le massacre d'une trentaine de civils en juillet 2006 dans un camp militaire de la province de Muyinga, dans l'est du Burundi, a débuté lundi en l'absence du principal accusé, en fuite, a-t-on appris de sources concordantes.
Carrières-sous-Poissy
CINQ JEUNES GENS, âgés de 19 à 25 ans, ont
été condamnés à des peines allant de six mois à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel
de Versailles, pour leur participation à un piège tendu à une patrouille de police dans la nuit
de dimanche à...
Publié le 19.09.07
Sept skinheads russes ont été condamnés lundi à des peines allant de six à vingt ans de prison pour une série de meurtres racistes dont ils...
> Les forces russes restent néanmoins sur les positions qu'elles occupent, selon le ministre géorgien de la Réintégration.
> Un haut responsable russe a affirmé que l'opération militaire en Géorgie visait à affaiblir le potentiel militaire de Tbilissi afin de l'empêcher d'attaquer ses républiques indépendantistes pro-russes.