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Monde : Les négociations intermalgaches se poursuivent sans accord sur Ravalomanana
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Un sommet pour désamorcer la crise politique malgache, qui dure depuis le début de l'année 2009, s'ouvrira aujourd'hui dans la capitale mozambicaine Maputo, sous la médiation internationale. L'éviction du président Marc Ravalomanana par l'ancien maire d'Antanarivo, la capitale de Madagascar, et ses partisans, a été à l'origine de la crise qui a déstabilisé cette île du Pacifique. Le sommet de Maputo doit donc rassembler M. Ravalomanana -actuellement exilé en Afrique du Sud- et le chef du régime de transition Andry Rajoelina, ainsi que les deux autres ex-chefs d'Etat du pays, Didier Ratsiraka -exilé
Le président évincé de Madagascar, Marc Ravalomanana, a accusé la France de soutenir le chef de la transition malgache Andry Rajoelina et de vouloir coloniser à nouveau la Grande-Ile, dans une allocution radiophonique diffusée à Antananarivo.
Réfugié en Afrique du Sud, Marc Ravalomanana estime qu'il est toujours le président de la République malgache et espère son prochain retour à Madagascar, actuellement gouverné par Marc Rajoelina et la Haute Autorité de Transition.
Les trois mouvances (Zafy Albert, Marc Ravalomanana et Didier Ratsiraka) et la société civile réunie au sein de la Jiaby miaro Maputo eto Mahajanga (Jimima) prônent l'application de la charte de Maputo.
Le choix du président et du Premier ministre de transition à Madagascar constitue le principal point d’achoppement des pourparlers inter-malgaches qui se poursuivaient mercredi à Maputo, capitale mozambicaine, a révélé le principal médiateur des Nations Unies.
Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana ainsi que d'autres leaders - deux ex-chefs d'Etat Didier Ratsiraka et Albert Zafy- ont signé dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 août 2009 à Maputo (capitale du Mozambique), un accord sur la transition politique dans leur pays, le Madagascar. Selon cet accord, des élections présidentielles et législatives doivent être organisées dans 15 mois.
Ils étaient tous là, à Maputo, la capitale mozambicaine, pour trouver une solution consensuelle et politiquement acceptable à la situation de crise qui s'est emparée de la Grande Ile depuis la fin de l'année 2008. Une crise marquée, on s'en souvient, par la prise du pouvoir, dans un climat de défiance et de violences, par Andry Rajoelina alias «TGV», 35 ans, alors que son prédécesseur, Marc Ravalomanana, en a quasiment été dépossédé.
Ils étaient tous là, à Maputo, la capitale mozambicaine, pour trouver une solution consensuelle et politiquement acceptable à la situation de crise qui s'est emparée de la Grande Ile depuis la fin de l'année 2008. Une crise marquée, on s'en souvient, par la prise du pouvoir, dans un climat de défiance et de violences, par Andry Rajoelina alias «TGV», 35 ans, alors que son prédécesseur, Marc Ravalomanana, en a quasiment été dépossédé.
C'est Marc Ravalomanana en personne qui l'a déclaré hier à l'endroit de ses partisans qui manifestaient au Magro Ankorondrano. Le président déchu a fait savoir que le président sud-africain Jacob Zuma soutient le retour rapide à l'ordre constitutionnel. Autrement dit et à entendre Marc Ravalomanana hier en direct par téléphone depuis Pretoria, le nouveau numéro Un de son pays d'asile apporte son soutien à son retour au pays et au pouvoir. Le président déchu d'enchaîner sur le récent voyage du président de la HAT au Sénégal : « Aucun pays au monde ne reconnaît la HAT. Contrairement à ce que la HAT veut à tout prix faire croire, le voyage de Andry Rajoelina au Sénégal a été un échec. » Marc Ravalomanana n'a pas manqué de fustiger la condamnation judiciaire dont il écope sur l'achat de l'avion « Force One II ». « On a bafoué la Constitution. La juridiction qui a rendu le jugement est incompétente pour juger un président de la République en exercice. », a-t-il martelé.
Les négociations pour trouver une issue à la crise politique au Kenya se poursuivaient jeudi, sur fond...
La faible mobilisation des électeurs malgaches, dimanche pour les élections législatives anticipées, ne devrait pas empêcher le président Marc Ravalomanana de renforcer sa majorité parlementaire. En provoquant ce scrutin anticipé, M. Ravalomanana, puissant chef d'entreprise, a cherché à affaiblir des députés frondeurs.
Deux partisans du président évincé de Madagascar Marc Ravalomanana ont été tués lundi et au moins 13 blessés, en majorité par balle, à l'issue...
Présence au pays. L'annonce a fait l'effet d'une bombe. Marc Ravalomanana, s'adressant hier par téléphone depuis l'Afrique du Sud à ses partisans qui manifestaient sur la Place de la démocratie, a ordonné la suspension de la participation de sa mouvance aux négociations en cours. « Il faut d'abord mon retour au pays et la libération du premier ministre Manandafy Rakotonirina, des quatre parlementaires ainsi que des autres personnes arrêtées pour des raisons politiques. », a-t-il martelé.
Labataille diplomatique est engagée à Syrte, en Libye. L'ancienprésident Ravalomanana et la Haute autorité de la transition s'activent pour courtiser les dirigeants africains, en marge du 13e Sommetde l'Union africaine.
L'armée est intervenue, hier jeudi 26 mars, à Antananarivo pour disperser des partisans de l'ex-président Marc Ravalomanana. Depuis quatre jours, ils sont plusieurs milliers à se réunir dans le centre-ville pour protester contre la prise du pouvoir par Andry Rajoelina, président de la Haute Autorité de Transition (HAT).
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