La justice a validé l’offre de la société, proposant le versement aux annonceurs lésés de 60 millions de dollars sous forme de crédits, et de 30 millions pour les frais d’avocats. Google a aussi revu son système publicitaire pour mieux repérer les fraudes.
Google recense environ 10% de fraude aux clics sur ses liens sponsorisés et affirme en bloquer la quasi-totalité. Il a renforcé son système de contrôle pour se concentrer sur les 0,02% de clics frauduleux qui passent encore à travers.
La justice de l'Arkansas examine cette semaine le compromis proposé par Google dans son procès pour fraude aux clics.
IBM annonce qu'il va payer 20 millions de dollars pour clore une affaire qui l'oppose à l'un de ses actionnaires. Ce derni...
Selon une étude du cabinet Outsell, plus de 14% des clics sur liens sponsorisés, facturés aux annonceurs, sont frauduleux. Google et ses concurrents minimisent l’ampleur du phénomène, tout en cherchant à lutter contre.
Google a lancé un site web en guise de «centre de ressources» centré sur l'épineuse question de la fraude aux clics, que beaucoup considèrent comme une menace à la principale source de revenus du géant de Mountain View : la publicité en paiement-par-clic ou «pay-per-click».
Google a lancé un site web en guise de «centre de ressources» centré sur l'épineuse question de la fraude aux clics, que beaucoup considèrent comme une menace à la principale source de revenus du géant de Mountain View : la publicité en paiement-par-clic ou «pay-per-click».
Google recense environ 10% de fraude aux clics sur ses liens sponsorisés et affirme en bloquer la quasi-totalité. Il a renforcé son système de contrôle pour se concentrer sur les 0,02% de clics frauduleux qui passent encore à travers.
Google sort du silence, des concurrents malveillants ont notamment utilisé des robots automatisés pour cliquer sur ces liens, afin de grossir indument la facture marketing d’une société. Par ailleurs, les éditeurs membres du réseau AdSense (https://www.google.com/adsense/login/fr/), qui acceptent contre rémunération de faire apparaître des publicités sur leur site, peuvent aussi être enclins à cliquer de façon abusive sur ces liens, pour acc......... (http://blog.prouver.fr/liens-sponsorises-google-renforce-son-action-contre-la-fraude-aux-clics/)
Yahoo, Google, Microsoft et d’autres ont créé un groupe de travail, avec l’IAB, afin de fournir des normes de calcul des clics sur les liens sponsorisés. L’objectif est de dénombrer de façon fiable les clics valides en les distinguant des frauduleux.
Le moteur de recherche propose un compromis aux annonceurs qui lui ont intenté un procès pour fraude aux clics: un crédit d'une valeur de 90 millions de dollars à utiliser pour acheter des publicités sur son réseau.
Google devra faire face à un nouveau procès portant sur la fraude aux clics, que les plaignants souhaitent de type class-action .
La fraude aux clics est une escroquerie utilisant le système très répandu de facturation au clic des publicités diffusées sur le web. Elle consiste à...
D'après la société d'étude Outsell, 15% des clics sur les liens sponsorisés seraient bidons. Pour les annonceurs américains, cela représente 800 millions de dollars qui partent en fumée. De quoi remettre en cause l'une des plus belles machine à cash de l'Internet.
Epilogue de l'affaire des livres électroniques effacés à distance par Amazon. Le tribunal de Seattle a condamné ces-jours ci la société à verser une indemnité de 150 000 dollars aux plaignants, dont un lycéen qui réalisait un travail scolaire sur 1984 de George Orwell. Amazon doit également s'engager à ne plus modifier ou effacer à distance les livres électroniques vendus, sauf cas très particuliers. [Lire la suite]
La part des clics frauduleux sur des bandeaux publicitaires augmente, passant au dernier trimestre 2008 à 17,1 % des clics. Près du tiers est réalisé depuis des ordinateurs piratés.
Ils engagent une réflexion sous l'égide de l'IAB (Interactive Advertising Bureau) contre ce nouveau fléau du Net. Google est condamné à verser 90 millions de dollars à des annonceurs lésés.