La réunion du Conseil Mondial est terminée et la décision suivante a été prise...
Le président de la FIA, Max Mosley, a annoncé mardi son intention de saisir la Cour d'appel de la Fédération après la décision clémente du Conseil mondial qui a refusé de sanctionner McLaren malgré des preuves d'une implication dans une affaire d'espionnage visant Ferrari.
Alors qu'elle devait examiner à cette date l'appel déposé par le président de la FIA concernant la décision à l'issue de la séance en première instance, la Fédération internationale automobile (FIA), disposant de nouveaux éléments dans le scandale d'espionnage présumé entre Ferrari et McLaren, a décidé de convoquer le 13 septembre prochain un Conseil mondial.
Le souffle retombe après la décision de l'affaire d'espionnage entériné par le Conseil Mondial de la FIA à Paris la semaine dernière. Et tandis que Ferrari crie son indignation sur tous les médias de la terre au sujet de la décision, le sentiment général dans le cercle de la F1 semble être que justice a été faite... Point !
Les auditions devant le Conseil mondial de l'automobile se sont achevées peu avant midi. Les 26 membres du Conseil vont maintenant délibérer. La porte-parole du Conseil mondial indique qu'une décision sera prise dans la journée. Nelsinho Piquet, Fernando Alonso et Bernard Rey, le président de Renault F1, étaient présents. Renault pourrait écoper d'une grosse amende, afin de ne pas perdre une écurie supplémentaire après les départs de Honda et BMW. Mais l'écurie française pourrait également (...)
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Accusée d'espionnage et contrainte de répondre de ces faits lors du prochain Conseil Mondial, l'écurie Renault a présenté sa défense par l'intermédiaire d'un communiqué.
L'équipe McLaren a communiqué par la voix de Ron Dennis après la décision du Conseil Mondial. L'écurie de Woking devrait faire appel selon toute vraisemblance...
Les représentants de Vodafone McLaren Mercedes, et notamment Mike Coughlard, sont convoqués à Paris le 26 juillet prochain par le Conseil Mondial du Sport Automobile, afin de répondre aux accusations d'espionnage dont ils font l'objet.
