Amnesty International a condamné avec force ce lundi 11 juin l'intervention de la police kenyane qui a fait plus de 30 morts mardi 5 juin et jeudi 7 juin à Mathare, un bidonville de la banlieue de Nairobi. Les personnes tuées l'ont été au cours d'opérations de sécurité menées par la police contre des membres de la secte Mungiki. L'opération du 7 juin avait été intitulée Opération Kosovo. Les deux opérations avaient pour but de récupérer des armes prises à deux policiers tués dans la nuit du lundi 4 juin par des membres présumés de la secte Mungiki.
Quatre personnes ont été tuées mardi au Kenya dans des violences liées à la secte interdite Mungiki, portant à 19 le nombre de morts depuis lundi, a-t-on appris de source policière.
La police kényane a affirmé mercredi avoir tué trois membres présumés d'une secte interdite dans une localité du centre du Kenya, au lendemain d'un raid policier contre cette secte ayant fait 21 morts dans un bidonville de Nairobi.
La Police a tué 21 personnes dans un bidonville de Nairobi dans la soirée de lundi, après que des membres présumés du gang terroriste redouté de Mungiki ont abattu deux policiers en patrouille de nuit. Le porte-parole de la Police, Eric Kiraithe, a déclaré mardi que les 21 personnes tuées étaient des présumés membres de la secte interdite Mungiki, qui auraient attaqué des policiers en patrouille.
La police kényane a tué mardi près de Nairobi deux membres présumés de la secte interdite Mungiki, soupçonnée d'être responsable de plusieurs meurtres, dont certains avec décapitation.
La secte interdite Mungiki, accusée de récents meurtres sanglants au Kenya, s'apparente plus à un gang mafieux entretenant des liens troubles avec des hommes politiques, selon des analystes qui craignent la multiplication de ce type de groupes dans un pays déjà violent.
La police kényane a affirmé mercredi avoir tué trois membres présumés d'une secte interdite dans une localité du centre du Kenya, au lendemain d'un raid policier contre cette secte ayant fait 21 morts dans un bidonville de Nairobi.
La police kényane a arrêté 19 personnes pour leur implication présumée dans la mort mardi soir de 11 villageois accusés de sorcellerie et brûlés vifs par une foule en colère dans un village de l'ouest du Kenya.
Au moins 11 personnes ont été tuées, dont une décapitée, dans la nuit de jeudi à vendredi au Kenya, aux environs de Nairobi, dans des incidents attribués à une secte interdite, selon la police et des témoins.
Depuis plusieurs jours, certaines villes du Kenya sont déchirées par des règlements de compte qui dérapent en affrontements racistes. Plus de 300 personnes auraient déjà été tuées.
Quinze personnes ont été tuées dans le nord du Kenya ce week-end au cours de raids de voleurs de bétail qui ont dégénéré en affrontements claniques à proximité de la frontière somalienne, a-t-on appris auprès de la police mardi.
La police kényane a tué par balles à Nairobi au moins 21 membres présumés d'une secte interdite dont des membres sont accusés d'une série de meurtres de civils et policiers, notamment par décapitation, dans ce pays où la violence augmente à l'approche des élections.
Sept personnes ont été tuées au Kenya dans la nuit de mardi à mercredi, six dans l'ouest du Kenya et une...
Redoutée pour ses crimes et ses relations troubles avec des hommes politiques kényans, la secte des Mungiki a été la cible cette semaine d'une sanglante opération policière ordonnée par le pouvoir qui redoute une flambée de violences avant les élections générales fin 2007.
La police kényane a tué jeudi 12 membres présumés d'une secte interdite, accusée d'une série de meurtres dont des décapitations, portant à 34 le nombre de suspects tués depuis le lancement lundi d'une opération de répression contre ce mouvement près de Nairobi.