Le secteur privé n'est pas la panacée pour développer les infrastructures dans les pays pauvres, selon le président de la Banque mondiale, l'Américain Paul Wolfowitz. Un virage à 90° dans le discours des institutions internationales ...
L'Afrique a non seulement les moins bonnes infrastructures du monde, mais leur utilisation coûte particulièrement cher aux habitants et aux entreprises, un obstacle considérable au développement, a indiqué mercredi la Banque mondiale dans un rapport.
Un programme de 50 millions de dollars américains vient d'être approuvé par le Conseil d'administration de la Banque mondiale pour la réouverture et l'entretien de 1.800 km de routes d'intérêt national de la RDC.
Au regard des principaux indicateurs de développement des infrastructures, l'Afrique subsaharienne est en retard d'au moins 20 points par rapport à la moyenne des pays en développement financés par le guichet de prêt à taux concessionnels de la Banque mondiale.
Les autorités roumaines ont reçu sept offres dans le cadre de la privatisation de Banca Commerciala Romana (BCR), la plus grande banque du pays. Les sept banques concernées sont la Deutsche Bank, Millenium BCP, Erste Bank, la Banque Nationale de Grèce, Banca Intesa, BNP Paribas et Dexia.
Il y a lieu de développer et d'améliorer les infrastructures en Afrique. Ce qui aura l'heur d'opérer un relèvement de la croissance de plus de 2 %, un surcroît de productivité de 40 %, et des créations d'emplois pour une population jeune et en constante augmentation. C'est, en tout cas, le point de vue de la vice-présidente de la Banque mondiale.
Paul Wolfowitz, président de la Banque Mondiale veut mettre au pas l'institution financière internationale. Selon ses déclarations reprises par le Financial Times, la Banque Mondiale est freinée dans son bon fonctionnement ...
Le soutien de la Banque mondiale aux réformes structurelles lancées par le Maroc se confirme. En atteste le nouvel accord de prêt portant sur un montant global de plus de 250 millions et 300 mille dollars signé hier entre le gouvernement marocain et la Banque mondiale.
Le Premier ministre israélien Ehoud Olmert sera interrogé cette semaine par la police dans le cadre de l'enquête sur son rôle dans la privatisation de la banque Leumi, l'une des plus grandes institutions financières de l'Etat hébreu. (ARGENT)
Le président équatorien Rafael Correa aurait ordonné l'expulsion des représentants de la Banque Mondiale. Le grief porte sur la suspension par la Banque Mondiale en 2005, d'un prêt de 100 millions de dollars à l'Equateur. ...
Le président équatorien Rafael Correa aurait ordonné l'expulsion des représentants de la Banque Mondiale. Le grief porte sur la suspension par la Banque Mondiale en 2005, d'un prêt de 100 millions de dollars à l'Equateur. ...
La délégation tunisienne aux assemblées du Fonds monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale, présidée par M. Taoufik Baccar, gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie (BCT), a eu une intense activité, en marge des travaux des assemblées annuelles du FMI et de la Banque Mondiale.
Privatisation de l'eau et dégâts collatéraux Manille, capitale des Philippines, dut, sous la pression de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), privatiser l'alimentation civile de l'eau en 1997. Aujourd'hui, les Philippins doivent se procurer une (...)
Selon la Banque mondiale, l'économie mondiale va se contracter de 3% en 2009 parce que les pays les plus pauvres seront malmenés par la récession. (ARGENT)
Le soutien de la Banque mondiale aux réformes structurelles lancées par le Maroc se confirme. En atteste le nouvel accord de prêt portant sur un montant global de plus de 250 millions et 300 mille dollars signé hier entre le gouvernement marocain et la Banque mondiale.