Le président de l'association de consommateurs et le rédacteur en chef de la revue « Que Choisir » sont poursuivis par l'opérateur pour diffamation. En cause, un communiqué de mai dernier.
La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a accordé le « bénéfice de la bonne foi » à Alain Bazot, président de l'UFC-Que Choisir, et Jean-Paul Geai, le rédacteur en chef du magazine éponyme, poursuivis par le fournisseur d'accès Free pour diffamation.
L'affaire remonte au 15 mai 2006.
L'opérateur n'a pas apprécié les propos tenus par la direction de l'UFC-Que Choisir en mai dernier.
Le tribunal de Paris a examiné vendredi l'action en diffamation engagée par Free contre l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, qui dans des articles diffusés il y a un an et demi avait qualifié d'autiste le fournisseur d'accès à internet.
L'association de défense des consommateurs a décidé de saisir la Justice à propos de la surtaxation de l'assistance téléphonique de l'opérateur Free.