A la veille de la présentation officielle des treize membres du comité de réflexion sur les institutions, Nicolas Sarkozy lance la réforme en consultant les partis politiques.
Le comité de réflexion sur les institutions est installé aujourd’hui.
Ce groupe de députés associera sa réflexion à celle du comité créé...
Le comité présidé par Balladur a été officiellement installé hier à l’Elysée.
Alors que le texte sur la réforme des institutions revient en seconde lecture au Sénat, le chef de l'Etat a mis en garde les députés UMP : " De toute façon, moi, je resterai président de la République. Cette réforme, c'est comme le bac, on passe de meilleures vacances si on l'a que si on l'a pas." Une dizaine de parlementaires UMP affirment vouloir voter contre la réforme.
Nicolas Sarkozy a lancé mardi le chantier de la réforme des institutions par une consultation des partis politiques. Il a ainsi reçu Patrick Devedjian et Jean-Pierre Raffarin pour l'UMP, Hervé Morin et François Sauvadet ...
Edouard Balladur, président du comité, a remis son rapport et annoncé que la...
Le comité sur la réforme des institutions devrait proposer que 30 députés soient élus à la proportionnelle. Il se prononce, par ailleurs, pour la suppression des parrainages pour l'élection présidentielle.
Stéphane Le Foll, bras droit du premier secrétaire du PS, a réaffirmé lundi que Nicolas Sarkozy ne pouvait pas «choisir à la place de l'opposition» les personnalités qui pourraient participer à une commission sur les institutions.
Huit élus socialistes, dont Jean-Louis Bianco et Vincent Peillon, publient une tribune dans laquelle ils défendent une stratégie de "fermeté" face à la politique de Nicolas Sarkozy. Ils répondent ainsi aux quatre députés socialistes qui, au lendemain du vote de la réforme des institutions, avaient critiqué la stratégie d'opposition "systématique" au chef de l'Etat.
Jeudi, à Epinal, le chef de l'Etat s’est présenté en héritier du fondateur de la Ve République • Lançant le chantier de la réforme des institutions, il a exposé ses pistes: une présidence «responsable» et sans domaine réservé, un Parlement qui soit un contre-pouvoir avec une opposition parlementaire dotée d’un véritable statut.
Le président de la République a estimé lors du Conseil des ministres que le vote du député PS en faveur de la réforme des institutions lors du Congrès de Versailles lundi "valide sa stratégie d'ouverture", selon le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel.
Le président de la République confirme dans le JDD. Il souhaite que DSK soit candidat au FMI. Et que Jack Lang participe à une commission sur la réforme des institutions politiques.
L'ancien ministre, qui participera au comité de réflexion sur les institutions installé officiellement aujourd'hui, estime que l'existence d'un Premier ministre «entretient la confusion».
"La droite entretient un tel mépris pour l’opposition que cela rend un accord impossible", a déclaré Jean-Louis Bianco, alors que trois mesures phares de la réforme des institutions ont été adoptées par l'Assemblée nationale dans la nuit.