Regarder la télévision entraînerait des risques accrus de mort prématurée pour les personnes obèses ou en surpoids, selon une étude publiée le 11 janvier sur (...)
Les personnes en surpoids seraient en meilleure santé que les personnes de poids normal ou obèses, suggère une étude à paraître dans l'« American Journal of Public Health ».
Un quart des personnes obèses ou en surpoids ne se sent pas concernée par une perte de poids et la majorité ne comprend pas les enjeux de santé associés à leur poids, selon les résultats d'un sondage effectué par l'association britannique Cancer Research UK, disponible sur leur site Internet (cancerresearchuk.org).
On vient de confirmer qu'une personne en surpoids a tendance à rechercher un ou une partenaire en surpoids également. Cela a des conséquences sur un plan médical. ...
Les adultes en surpoids pourraient brûler davantage de calories s'ils regardaient moins la télévision, selon une étude publiée le 14 décembre dans le journal Archives (...)
Les personnes obèses pourraient simplement réduire le risque de cancer en utilisant des médicaments aux propriétés anti-inflammatoires, comme l'aspirine ou l'ibuprofène. Concernant l'obésité, on s'inquiète facilement du risque de diabète ou de maladies cardio-vasculaires, mais il faut savoir qu'un surpoids notable accroît les risques d'avoir un cancer de 50 % (tous les types) et de 400 % pour le c ...
Les thermes de Brides-les-Bains offrent depuis le printemps 2005 un programme spécialement dédié aux personnes en surpoids, a annoncé la station thermale de Savoie lors du salon des Thermalies, qui s'est déroulé à Paris du 26 au 29 janvier.
Une importante étude réunissant plus d'un demi million de personnes a démontré un lien entre un surpoids même léger et la mort prématurée. Le surpoids et l'obésité sont définis selon le calcul de l'indice de masse corporelle (IMC). L'IMC se calcule par le rapport du poids (kg) sur la taille (m) au carré (poids/taille x taille).
Lorsque l'on cherche à savoir qui est plus susceptible d'être vulnérable aux risques de nature cardiaque, on a tendance à montrer du doigt les personnes en surpoids ou obèses. Est-ce la bonne explication? ...
Une vaste étude internationale portant sur plus de 168 000 patients de 63 pays montre que 24 % des hommes et 27 % des femmes sont actuellement obèses. Ces chiffres ont été annoncés ce lundi par l'Institut national français de la santé et de la recherche médicale (INSERM).
Parmi les 168 159 personnes âgées de 18 à 80 ans ayant participé à l'étude, 40 % des hommes et 30 % des femmes sont en surpoids sans être obèses. Il s'agit de la plus grande étude disponible permettant d'apprécier en instantané la fréquence de l'adiposité, avec un recueil de données homogène à travers le monde, explique le coordinateur des travaux, Beverley Balkau.
Une personne est considérée obèse lorsque son indice de masse corporelle (IMC), calculé en divisant son poids (en kg) par sa taille au carré (en m2), est égal ou supérieur à 30. Lorsque l'IMC est compris entre 25 et 30 kg/m2, il s'agit d'un surpoids. La fréquence de l'obésité varie d'un pays à l'autre, passant de 7 % sur le continent asiatique (hommes et femmes) à 36 % chez les Canadiens des deux sexes. Elle atteint 38 % à 40 % pour les femmes au Moyen-Orient et en Afrique.
Les patients en surpoids ou obèses présentant une dyslipidémie et traités par un antagoniste sélectif du récepteur CB1 des cannabinoïdes perdent du poids tout en obtenant des taux réduits de différents marqueurs de risques associés, selon une étude publiée jeudi dernier dans le « New England Journal of Medicine » (NEJM).
Dans le monde, il y a plus d'un milliard d'adultes en surpoids et autour de 300 millions d'obèses (IMC > ou = 30 kg/m2) sans compter que quelques éléments permettent de penser que c'est le tour de taille de toute la population...
Les enfants en bas âge présentant un surpoids et ceux dont la croissance est rapide présenteraient un risque important de devenir des adultes obèses, confirme une synthèse des différentes études déjà parues sur le sujet, publiée sur le site Internet du « British Medical Journal ».
Les adolescentes obèses auraient davantage de risques que la moyenne de souffrir de sclérose en plaques, selon une étude publiée par des chercheurs américains dans (...)
On s'aperçoit de plus en plus que les enfants sont en surpoids voire même sont obèses notamment dû à une mauvaise alimentation, une sédentarité accrue, l'activité sportive perd face à (...)