Une mauvaise nouvelle pour les adeptes du peer to peer :- WinMX, plateforme d'échange pesant environ 10% du trafic peer to peer, ne répond plus. Suite à la décision de la Cour Suprême des Etats Unis (voir cette note),...
Pour les majors du disque et du film, les créateurs de logiciels de P2P doivent être tenus pour responsables de l'utilisation illégale qui peut en être faite. Ce que conteste les éditeurs concernés... soutenus par une bonne part de l'industrie électronique et informatique.
La Cour suprême des Etats-Unis se penche à partir du 29 mars sur les logiciels de peer-to-peer Grokster et Morpheus. Elle dira, d'ici au mois de juin, si leurs éditeurs sont responsables des utilisations illicites qui en sont faites.
L’éditeur de Morpheus a été déclaré responsable des échanges illégaux de fichiers transitant par le réseau peer-to-peer. Il subit les conséquences d’une décision rendue par la Cour suprême des Etats-Unis en 2005.
En acceptant le recours des majors, la plus haute juridiction américaine risque de juger au-delà du cas "peer-to-peer". Et de répondre à la question: faut-il interdire un produit légal parce qu'il peut servir à commettre des infractions?
L'éditeur du célèbre logiciel de peer to peer rentre dans le rang. Menacé de procès par les majors, MetaMachine va rendre eDonkey plus conforme aux souhaits de l'industrie musicale américaine.
Le dernier volet d'un feuilleton judiciaire entamé en 2001 se joue devant la plus haute juridiction américaine. Elle devra statuer sur la responsabilité des éditeurs de logiciels peer-to-peer, dans le cadre de téléchargements illégaux. Verdict en juin.
Si le débat sur le peer-to-peer bat son plein dans toutes les régions du monde, il y a semble-t-il un endroit où les logiciels peer-to-peer sont désormais bannis : l'Antarctique. L'organisation gouvernementale américaine USAP a considéré les logiciels P2P comme des vecteurs de diffusion de virus et de tout un tas de logiciels malveillants. Mais quid des autres logiciels, comme les navigateurs web qui sont tout aussi potentiellement risqués ? [Lire la suite]
Les maisons de disques françaises repartent à l'assaut du peer-to-peer.
Le créateur de la technologie de téléchargement peer-to-peer a mis en ligne une nouvelle version dénuée de « traqueur ».
Les tests préliminaires d'une nouvelle stratégie de gestion du trafic peer-to-peer baptisée P4P...
La problèmatique du peer-to-peer revient...
Pour la cour d'appel de Paris, les adresses IP des adeptes des réseaux peer-to-peer ne sont pas des données personnelles. Elles peuvent être collectées par les ayants droit sans l'aval de la Cnil. Inquiète, la commission sollicite un pourvoi en cassation.
Dans son combat contre les adeptes du peer-to-peer, l'industrie du disque attaque tous azimuts.
Arbor Networks spécialisée dans la sécurité des réseaux vient de publier une étude qui révèle que le peer to peer ne représente plus que 18 % du trafic Internet