La Commission européenne a donné jeudi quatre semaines à Microsoft pour se conformer à sa condamnation de mars 2004 pour abus de position dominante, sans quoi l'exécutif européen lui imposera de lourdes astreintes dès la fin du mois. Elles pourraient s'élever à plusieurs millions d'euros par jour.
Dans l'affaire opposant Microsoft à la Commission des Communautés Européennes, le Tribunal de première instance vient de confirmer pour l'essentiel, la décision de la commission concernant l'abus de position dominante de Microsoft.
La justice européenne a confirmé lundi, pour l'essentiel, la condamnation pour abus de position dominante du groupe américain Microsoft, prononcée en mars 2004 par la Commission européenne, ainsi que l'amende de 497 millions d'euros dont il avait écopé.
Coup dur pour l'éditeur américain : la Cour européenne de justice donne raison à la Commission européenne et entérine ses sanctions pour abus de position dominante infligées en mars 2004. Microsoft peut encore faire appel.
Dans deux mois jour pour jour, le tribunal de première instance de la Cour européenne de justice (CEJ) rendra sa décision sur le recours déposé par Microsoft contre sa condamnation par la Commission européenne en 2004 pour abus de position dominante.
Déjà condamné en 2004 par Bruxelles pour abus de position dominante à payer 1,6 milliard d'euros, Microsoft se voit encore mis sur le devant de la scène. En effet, la Commission européenne vient d'examiner la plainte déposée en décembre 2007 par Opera software et a annoncé avoir envoyé le 15 janvier à l'éditeur de Redmond une « communication de griefs » concernant le lien entre Internet Explorer et Windows. Pour la commission, la vente liée du navigateur web avec le système d'exploitation dominant Windows pour PC (...)
La justice européenne a infligé lundi un camouflet inattendu au géant américain des logiciels Microsoft , en confirmant sa condamnation pour abus de position dominante ainsi que l'amende astronomique dont il avait écopé. Evènement
La Commission européenne a annoncé lundi l'ouverture de 2 nouvelles enquêtes antitrust envers le géant informatique Microsoft, soupçonné d'abus de position dominante.La première enquête vise les restrictions à l'interopérabilité avec d'autres systèmes d'exploitation concurrents, tandis que la seconde fait suite à la plainte d'Opera Software qui reproche à Microsoft d'équiper automatiquement ses ordinateurs du navigateur Internet Explorer. La Commission est coutumière d'actions envers Microsoft. En 2004, celle-ci avait condamné la société co-fondée par Bill Gates à verser 497 millions d'euros pour abus de position dominante, sanction qui a été confirmée le 17 septembre par la Cour européenne de justice.
Le tribunal européen a confirmé lundi la condamnation de l'américain Microsoft pour abus de position dominante ainsi que l'amende record de 497 millions d'euros dont il avait écopé
Guerre des nerfs. La firme de Redmond va-t-elle plier face aux exigences des chiens de garde de la Concurrence de la Commission européenne? Condamné à 497 millions d'euros pour abus de position dominante en mars 2004, Microsoft avait sorti son chéquier. Mais la décision était assortie de «remèdes» auxquels le géant américain ne s'est toujours pas conformé. Bruxelles à donc posé un ultimatum: ce 1er juin.
Mercredi, la Commission européenne devrait de nouveau frapper Microsoft au portefeuille. Jugeant qu'il n'applique toujours par correctement sa condamnation de 2004 pour abus de position dominante, Bruxelles pourrait le condamner ...
Mercredi, la Commission européenne devrait de nouveau frapper Microsoft au portefeuille. Jugeant qu'il n'applique toujours par correctement sa condamnation de 2004 pour abus de position dominante, Bruxelles pourrait le condamner ...
La commission européenne met en garde Microsoft contre tout nouvel abus de position
dominante concernant le lancement de Vista qui devrait voir le jour début 2007.
En effet, la commission cra...
Microsoft n'aura pas soufflé longtemps: quatre mois après la confirmation en justice d'une amende record, Bruxelles a lancé lundi de nouvelles enquêtes contre le géant américain du logiciel soupçonné d'abus de position dominante.
L'éditeur de Redmond veut boucler le dossier de sa condamnation pour abus de position dominante prononcée en 2004 par la Commission européenne.