Le coordinateur de la mission d'observateurs de la Communauté de Développement de l'Afrique Australe (SADC) des élections au Zimbabwe, Marcos Barrica, a déclaré mercredi, à Harare, que les observateurs se sont entretenus avec des individualités zimbabwéennes pour assurer un environnement sain durant les élections.
par Cris ChinakaHARARE (Reuters) - Les élections du Zimbabwe, considérées comme les plus importantes...
Le président sud-africain Thabo Mbeki s'est rendu hier vendredi à Harare où il s'est entretenu avec son homologue zimbabwéen Robert Mugabe afin de réussir la transparence au deuxième tour de la présidentielle. Cette médiation semble porter des fruits parce que Robert Mugabe a accepté la présence d'observateurs internationaux au Zimbabwe lors de cette élection.
Le président Robert Mugabe a critiqué lundi comme racistes les Etats occidentaux méfiants envers l'accord de partage du pouvoir au Zimbabwe, et a estimé que les aides occidentales n'étaient pas une solution aux malheurs économiques du pays.
Les élections présidentielle et législatives au Zimbabwe auront lieu le 29 mars, a annoncé le gouvernement hier vendredi 25 janvier dans une édition spéciale du journal officiel. Le Parlement sera dissout la veille du scrutin, selon la même source.
Alors que, en date du 1er avril, la Commission électorale du Zimbabwé a rendu publics environ la moitié des résultats des élections législatives qui ont eu lieu le 29 mars, le fait qu'elle n'a encore rien annoncé au sujet des résultats de l'élection présidentielle suscite des préoccupations chez les diplomates et les observateurs étrangers.
Les
pourparlers entre les deux principales factions de
l'opposition en vue d'établir une coalition contre le
président Robert Mugabe avant les élections
présidentielle et législatives du 29 mars ont
échoué dimanche, a annoncé un dirigeant de l'opposition.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a averti jeudi ses rivaux qu'il ne tolèrerait pas de recours à la violence après les élections générales de samedi et les a accusés de mentir sur d'éventuelles fraudes.
Le président du Zimbabwe Robert Mugabe s'est dit certain de rester au pouvoir à la veille du second tour d'une élection présidentielle jugée non...
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, qui aborde les élections générales de samedi avec un bilan économique catastrophique, a de nouveau accusé...
Candidat à l'élection présidentielle de ce samedi 29 mars 2008, Robert Mugabe a accusé l'Occident d'être responsable de tous les maux du Zimbabwe. Il a également rejeté toutes les accusations de fraude formulées contre sa personne et mis en garde l'opposition, contre toute les manifestations post-électorales en cas de la victoire de la Zanu-PF (parti au pouvoir).
Le
président zimbabwéen Robert Mugabe a assuré
dimanche que le pays ne serait jamais dirigé
par Morgan Tsvangirai, chef du principal parti d'opposition,
qui a prédit pour sa part la victoire de son mouvement
aux élections de samedi et la fin de la dictature.
Trois semaines après les élections générales au Zimbabwe, un nouveau comptage partiel des votes a débuté samedi, ce qui pourrait renverser la majorité au profit du régime du président Robert Mugabe, accusé par Human Rights Watch de torturer des opposants.
La ministre suédoise du Développement international, Gunilla Carlsson a, au terme d'une mission à Harare, déclaré que l'Union européenne entre dans une nouvelle phase de ses relations avec le Zimbabwe. Le président Robert Mugabe a, à cette occasion, changé le ton envers l'UE. Ce qui présage un avenir meilleur de la coopération entre le Zimbabwe et ses partenaires étrangers.
Le président Robert Mugabe a déclaré mercredi soir que le Zimbabwe n'accepterait pas d'initiatives parallèles inutiles extérieures au bloc régional de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) pour résoudre les crises du Zimbabwe.