La Cour de cassation italienne a rejeté un recours du parquet de la cour d'appel de Milan et ainsi autorisé l'arrêt de l'alimentation artificielle d'une femme plongée dans un coma végétatif depuis 26 ans. Un cas qui suscite une vive polémique dans le pays.
Eluana Englaro est cette jeune femme italienne, âgée de 37 ans et plongée dans le coma depuis 17 ans. En novembre dernier, la Cour de cassation avait autorisé l'arrêt de l'alimentation et de l'hydratation d'Eluana, suscitant une levée de boucliers,...
La Cour constitutionnelle italienne a rejeté un recours déposé par le parlement contre une décision de justice autorisant l'arrêt de l'alimentation artificielle d'une femme, Eluana Englaro, qui se trouvait dans le coma depuis plus de 16 ans. Le sort de la jeune femme, qui est devenue en Italie le symbole du débat sur l'euthanasie, devra encore attendre la décision de la Cour de cassation.
La Cour de cassation italienne a donné son accord à l'arrêt de l'alimentation artificielle de cette femme, qui avait fait valoir avant son accident qu'elle ne voudrait pas être maintenue artificiellement en vie. L'église s'insurge et parle d'assassinat.
La Cour de cassation italienne a donné son accord à l'arrêt de l'alimentation artificielle de cette femme, qui avait fait valoir avant son accident qu'elle ne voudrait pas être maintenue artificiellement en vie. L'église s'insurge et parle d'assassinat.
La justice italienne a autorisé aujourd'hui l'arrêt de l'alimentation d'une femme dans le coma depuis plus de 16 ans, suite à la demande de son père. L'alimentation n'est pas un soin médical, il ne s'agit donc pas d'un acharnement térapeuthique....
Eluana Englaro est une femme italienne plongé dans un coma végétatif depuis 15 ans. Son père a demandé à plusieurs reprises (1999, 2005) que la sonde qui nourrit et hydrate sa fille soit débranchée. La cour de justice de Milan...
La Cour d'appel de Milan a autorisé à interrompre l'alimentation d'une femme plongée dans le coma depuis 1992. L'Eglise s'élève contre cette décision qui justifie, selon elle, "de fait, un acte d'euthanasie".